La plaine****

par **dincan** Dim 18 Jan - 0:35

tirant la cariole, il arriva enfin à trouver un endroit plat, enfin plat tout est raltif si on consièdre que nous sommes en savois et qu'il y a des montagnes. Il disposa les torches en cercle . Un cercle parfait qui delimitait un champs de bataille.

La nuit était fraiche, froide meme, mais les deux hommes allaient se livrer à un combat ou à un entrainement. il n'auront pas froid.

une fois son labeur achevé, il hurla à ue tete pour que eddo puisse l'entendre.

c'est fait mesire...

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 0:56

Les voilà qui arrivaient, Eddo en tête marchait en sifflotant. L'air froid de la nuit ne le dérangeait pas, loin de là, c'est un air joyeux, sortie d'une mascarade ancienne qu'il sifflait. Son air devint même comique quand il vit que Rêveur bloquait Dincan qui lui essayait de partir de la lice improviser. Une lice ronde...Eddo regarda Dincan d'un œil noir, alla voir où il avait poser les affaires, laissant Rêveur s'occuper du garde.

Arrivé devant le mont d'affaire, Eddo se retourna vers le jeune homme et lui dit. Prenez une arme, prenez des carreaux, je vous monte une cible. En effet Eddo prit un drap, deux bâtons au sol qui était bien éclairé et alla, en soupirant devant la lice ridicule de Dincan, poser la "cible" sur le bord du cercle, entre deux torche; il gribouillât des cercle avec de la suie et monta la cible. Etant sur qu'elle était bien accrocher, Eddo revient vers le jeune homme et le laissa faire.

Pendant se temps là Rêveur avait changer de tactique, il avait mit à terre le casque du garde et broutais ses cheveux.

par Vaelorian Dim 18 Jan - 1:05

Vaelorian ecoutait avec attention le Sieur Eddo et le vit dessiner une cible et recu les ordres on ne peut plus clair ...

- Prenez une arme, prenez des carreaux, je vous monte une cible
- Bien Messire Eddo ... Il est temps de reveiller le pere ...

Il arma calmement l'arbalete en plançant un carreau ... il s'etonnait lui même de sa gestuelle car au fond il n'avait utilisé une arbalete qu'a ses 7 an ... autrement dit il y a 13 ans ... Une phrase lui resonna dans la tete qu'il prononça a voix basse ...

- mire ... air ... feu !!!!

Le carreau fila droit sur la cible , la touchant sans difficulté , mais de la a savoir si c'était le tir parfait , seul le Sieur Eddo pourrait réelement juger de sa prestation au tir , Vaelorian trouvait que ce n'etait pas trop trop mal mais au moins c'était déja sur la cible ...

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 1:18

Le tire fusa, le sifflement du carreau, la toile percé et le carreau qui continue. Eddo grimaça, il avaient vu d'honnête chevalier mourir par cette arme. Il ne l'aimait pas, comme les armes à feu, elles étaient sans âme, sans respect, mais un choix et un choix, Eddo ne pouvait rien en dire.

Il se rapprocha de la cible, regardât et sourit, le tire était bon, un peu dévié sur la droite, rien de bien méchant, mais pas dans le cœur. Eddo regarda le jeune homme et dit Reculez donc de 10 pas voulez vous et recommencez.

Lui se recula aussi et siffla trois notes discordantes. Rêveur cessa de jouer avec le garde et regarda Eddo. Celui-ci regarda Vaelorian. Rêveur compris et se mit au trot.

par Vaelorian Dim 18 Jan - 1:32

Le tir n'était pas parfait mais il avait l'air de plaire au Sieur Eddo , tant mieux pour lui mais de nouvelles instructions lui vinrent ...

Reculez donc de 10 pas voulez vous et recommencez.

Vaelorian ne se fit pas prier et recula de 10 pas et leva les yeux sur la cible ... un peu plus petite du fait de la distance , sa ne devrai pas être plus compliqué qu'a 5 pas , sauf que la on est a 15 pas ... rien de catastrophique pour l'instant ...

Sa devrai le faire a cette distance je pense ...

Il rearma avec le même calme que le premier tir , la même gestuelle presque une chorégraphie repétée depuis des années , qui l'etonne encore lui même ...

Hmm ... 15 pieds avec une arbalète comme celle - la , pas encore besoin d'ajuster la hausse , juste les latéraux ...

Il decala d'un rien a droite mais oublia un parametre important ... le vent !!!!

Ta mire tu ajuste ... ton air tu retient et le feu tu délivre !!!!!

Le carreau parti comme le premier mais le vent le fit passer a rien du premier trou un petit centimetre a droite , sans vent il pense que sa aurait été plein centre ... la prochaine fois si il recule de 10 pas de plus il devra ajuster la hausse

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 1:45

Eddo s'approchât de la cible, le tire n'était pas meilleur que l'ancien, même moins bon. Pas de grand chose, mais moins bon, pour sûr. Pendant que Dincan se carapatait tranquillou, Eddo regarda Rêveur, celui-ci jouait dans la nuit, entre l'ombre et la lumière des torches. Eddo dit: Voulez vous tirer sur la carriole sieur?Celle ci était en mouvement, hors lumière des torches et rêveur était non loin du champs de vision, jouant. Adresse, dextérité et rapidité.

par Vaelorian Dim 18 Jan - 2:02

Voulez vous tirer sur la carriole sieur?

Tel était l'ordre donné ... Une bouffée d'adrenaline lui monta aux narines , un defi un peu particulier ... une cible enorme comme la carriole mais deux obstacle en mouvement , le cheval qui joue dans l'ombre et l'homme qui tire la carriole ... il ne faudra pas trainer ...

Bien Messire !

Vaelorian rearma rapidement car il savait que trop loin il ne verrait plus rien !!! Il cherchait inlassablement le cheval non loin mais dans le noit il pouvait être sur la route du carreau comme 20 pas a coté ... les reflets des raccord metallique permettait d'entrevoir vaguement la carriole mais cela donnait une forme et une direction ... le vent avait cessé et il était au maximum de sa concentration ... une bouffée de chaleur , son excitation augmente au fur et a mesure comme si une partie de chasse était lancée ... le pere traqueur revenait dans le fils ...?

Il se mit en joue rapidement et fit feu sans hésiter le carreau toucha prestement la carriole qui fit sursauté le pauvre Dincan qui se mit a couvert ou il le put ...

D : Hey on me tire dessu a l'aide !!!!
V : Tait toi et savoure !!!!

Vaelorian arma un deuxiemme carreau comme si il chassait le pauvre Dincan can le cheval apparu devant lui , ce qui l'obligea a se coucher pour rearmer et tirer sous le corps du cheval pour continuer a tirer la carriole , le premier carreau tomba a 5 metres de Dincan , le second a 3 metres ...

Ce coup la les pattes de Reveur le génait et il ne pouvais se decaler vers la gauche car le torche l'en empechait il devait se decaler dans le sens du cheval en allant plus vite que lui ... pas evident ... Trois pas vif sur le coté et un carreau de moins a tirer ... qui tomba a 20 centimetre a droite du visage de Dincan ...

Ce coup la je ne te rate pas ...

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 2:22

Soupir, le voilà qui se met à faire n'importe quoi, Eddo prestement s'approche, il court même, siffle trois notes discordantes, Rêveur se retourne, voit son maitre et réagit aussi, un coup de trot et il s'éloigne du "chasseur". Son pas s'allonge, sa course augmente, le galop arrive alors Rêveur fait demi tour, il court et fonce sur le "chasseur", ne le cherche pas et n'essaie pas de l'attraper, mais vise l'arme, un saut, un coup de patte sur le devant de l'arbalète, celle ci tombe. Rêveur ralentie, s'arrête, revient et pose sa patte dessus puis souffle sur le chasseur.

Eddo lui s'approche de Dincan, qui est furieux, lame sortie de son fourreau. Quand Eddo s'approche, il se relève et lui hurle dessus. Non mais vous êtes malade "Siiiiiiiiiiiiiiiiire" Puègmirol, vous vouliez ma mort? Sa ne se passera pas comme ça, je vous le garantie.

Eddo ne dit rien, mais regarde Dincan, voit les carreaux qui sont tombés très, trop proche de lui, Il se retourne vers Vaelorian et s'approche d'un pas énergique, le visage énervé. Puis-je savoir se qui vous à prit? Qui vous à dit de tirer sur les gardes du domaine? Rêveur retire lui son arme! Le poneys regarde son maître en deux ans, ils n'avaient jamais eu besoin de mots pour se comprendre. Mais en voyant le regard furibond de son maître il comprit, Eddo aurait préféré que se soit le jeune homme, mais l'arme ferai un bon palliatif. Du haut de ses 800 livres, il fit une ruade et brisa l'arme.

Expliquez vous!

par Vaelorian Dim 18 Jan - 2:33

Expliquez vous!

La aussi l'ordre était clair et sans appel ... mais expliquer quelque chose qu'on a du mal a saisir , sa lui était déjà arrivée une fois mais dans d'autre circonstances ...

Je pense avoir éveillé les reflexes du père Messire , c'etait un traqueur et lorsqu'il chassait quelqu'un on pensait que c'etait un animal qui traquait l'humain ... comme une sorte de frenesie brutale que se declanche avec un surplus d'adrenaline , je pensait que seul lui avait sa ... Aparament , il me la reflier je m'en excuse tant au pres de vous qu'aupres de Dincan ...

Bizarrement et malgré le froid , il se sentait a l'aise alors qu'il ne devait pas faire plus de 3 degrés dehors ...

j'ai une drôle de sensation , j'ai chaud malgré le froid qui nous entoure ... J'espere que ce probleme la resurgira face a quelqu'un qui devra mourir ... Sa pourrait être utile ...

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 2:44

Des explications assez étrange, mais bien naturelle.

On appel ça la soif de sang. Je vous souhaite bien au contraire qu'elle ne revienne pas. Elle vous fait monter le sang à la tête, vous ne maitrisez plus votre corps, agissez comme une bête et l'ennemi peux facilement vous tuer. Oh oui je sais, s'il s'approche il meurt à coup sûr. Mais n'oubliez pas l'ennemi est pas uniquement à pied, ni uniquement avec des armes courtes. Une arme d'hast ou un simple archer vous tuerait sans problème.

Prenez la dague et montez à cheval. On continue l'entrainement.

Eddo laissa le jeune homme reprendre totalement ses esprit, lui se reculât, alla gratter l'encolure de Rêveur, en pensant a ces morts qui jonche sa vie, mort de la folie des armes, de leurs folies, de la folie des autres. c'est d'une voix triste qu'il dit.

Quand vous serez prêt faites des allers retour sur la cible, montrez moi votre talent à la dague et à cheval.

par Vaelorian Dim 18 Jan - 2:47

La un probleme se posait ... monter a cheval il ne l'avait jamais fait ...

Je pense qu'on va avoir un probleme ... je ne suis jamais monté a cheval ...

par **Eddo Puègmirol** Dim 18 Jan - 3:04

Ah! Eddo regarda Rêveur qui fit directement deux pas en arrière, se retourna et partie. Eddo soupira de le voir si lâche, mais fini par sourire. Il se retourna vers le jeune homme et dit.

Bon se n'est pas grave, nous feront sans. La nuit continuait son chemin, Eddo entendit en souriant les loups hurler à la mort, pensa à Shera, puis regarda autour de lui avant de reprendre. restons en là, je vais devoir déjà expliquer la petites erreur sur Dincan à Louis, rentrons donc, mais d'abord aidez moi à ramener la nourriture en ville, je pensais manger, mais se sera pour une autre fois. En plus je ne voudrait pas que les loups viennent trop prêt de la ville.

Se disant Eddo ramassa les vivres et alla vers la porte où les gardes leurs firent un bien mauvais accueil. Laissez renter le sieur Vaelorian, il va dormir en ville. Je prend responsabilité de sa personne. Puis ayant dit ça Eddo saluat le sieur et partie au domaine même.

par Vaelorian Lun 19 Jan - 10:32

Après une longue nuit de repos au sein de la ville ou il trouva un lit au chaud pour dormir le plus tranquillement du monde , il décida de quitter la ville pour retourner dans la plaine , la nuit avait éteint les torches mais leur fumées restaient visible a 50 mètres , une fois arrivé sur place , il décida de s'étirer dans le frais du petit matin afin de réveiller doucement ses muscles pour ne pas prendre le risque de se faire mal bêtement face au Sieur et surment Maitre d'Armes Eddo ...

Il a l'air sacrément bon le Sieur Eddo , un bon exemple a suivre si je veut réveiller au mieux les Réflexes du Père , je vais devoir apprendre de lui comme mon Père a appris de son mentor ... Cela ne sera pas simple ni rapide mais le résultat en vaux la chandelle ...

Vaelorian continuait a s'entrainner et a s'étirer afin d'être prêt et opérationnel pour l'arrivée du Sieur Eddo ...

par **Eddo Puègmirol** Lun 19 Jan - 23:04

Après la messe du matin et les prières qui vont avec. Après le nettoyage quotidien de Rêveur. Après avoir accompli les taches du matin et s'être assuré que Mélisende ne pensait ni à sortir, ni à mettre ça vie en danger. Eddo se fit mettre une armure légère, métal sur le torse et cuir sur le reste du corps. Il prit à l'armurerie, quatre dagues longues et partie en sifflotant vers les plaines.

L'air du matin était froid, Les oiseaux ne chantaient pas. Le froid faisait tomber une chape de plomb sur les alentours du domaine. La neige était glacée et recouvrait la plaine qui était moucheté d'une herbe morte de ne plus avoir de chaleur. Des pas de petits animaux s'entremêlaient comme les pas d'une danse, triste et mortel.

Le ciel, froid et distant, caressait les montagnes, les nuages, léger, doux et blanc parsemaient le ciel, comme les moutons en transhumance jouaient sur les vertes pâtures de Savoie.

Un tel temps vouait l'âme la plus dur et la plus froide à la mélancolie et aux sombres pensés, elle se jouait de la rhétorique et des faux semblant. Les griffes des peurs ancestrales, enfouit en nous comme le nourrisson dans les seins de sa mère, guette le voyageur de la vie, durant la lourde traversé de l'hiver.

Pourtant Eddo regardait le paysage avec joie, ces montagnes, ces sentes et ces combes, ces pins et ces châtaigniers. Cette neige, cette glace, tout cela lui offrait l'image d'un monde calme, entrain de dormir, se préparant au lendemain joyeux qui arriveraient, quoi qu'on en disent. Les arbres ne mentent pas, les montagnes se moque de ceux qui les gravissent. leur seul volonté, leur seul intérêt reste le temps. Il est pour et avec eux.

Alors qu'Eddo arrivait devant la lice "ronde" de Dincan il ne pu s'empêcher de faire la grimace, c'était si stupide une lice ronde. Puis il saluât le jeune Vaelorian.

Sieur, Heureux de vous voir déjà présent. Je me suis permis d'aménager vostre test pour prendre en compte vostre non connaissance de l'art de la monte. Nous allons nous battre, l'un contre l'autre. Attention à vos envies de sang, jeune homme. Ceci n'est ni un duel, ni un combat à mort. Ne m'obligez pas à vous ramener prêt de votre père trop vite. Eddo regarda la lice, clignât des yeux et souritLe stupide cercle de Dincan nous servira de lieu de combat, si vous avez besoin de repos, d'un temps de pause, sortez du cercle, à l'intérieur, vostre vie et mienne!

Puis Eddo lui tendis deux dagues, se mit les deux autres à la taille. Il n'aimait pas ces armes, trop fine, trop fragile et trop cassante, mais bon. Il savait les manier et puis un peu de sport ferait du bien, les mannequins sont ennuyeux et louis ne voulait pas qu'Eddo s'entraine sur ses paysans...

Une fois Vaelorian, armée, il lui sourit et l'invitât à commencer le test des dagues.

par Vaelorian Mar 20 Jan - 1:18

Sieur, Heureux de vous voir déjà présent. Je me suis permis d'aménager vostre test pour prendre en compte vostre non connaissance de l'art de la monte. Nous allons nous battre, l'un contre l'autre. Attention à vos envies de sang, jeune homme. Ceci n'est ni un duel, ni un combat à mort. Ne m'obligez pas à vous ramener prêt de votre père trop vite.

Se faire ramenner près de son Père , il faudrai peut être attendre un peu pour cela car avec le temps sa souplesse revenait doucement et donc certainement certains reflexes de poignet mais le test allait le vérifier ...

Vous permettez ...?

Lançat-il en pointant une dague de la main gauche vers les dagues du Maitre d'Armes Eddo avec un sourire respecteux , ce sourire montrait sa joie de jouer en guise de test avec un Sieur certainnement bien meilleur que lui mais les defils il les appréciait relevés et complexes ...

par **Eddo Puègmirol** Jeu 22 Jan - 20:27

Eddo sortie une de ses dagues, il la fit taper contre celle du jeune homme afin de lancer l'exercice. Puis Eddo reculât lentement, laissant la première passe au testé. Après tout ils étaient là pour s'amuser et pour savoir se qu'il en est des qualité du jeune homme. Autant que se soit lui qui mène le combat.

Eddo avait mit sa dague haute, en défense, il avait prit une position légère, prêt autant a fondre sur Vaelorian qu'a réagir à toutes action du jeune homme.

par Vaelorian Jeu 22 Jan - 21:17

Vaelorian repondit prestement au premier choc et envoya son autre dague sur celle du Sieur Eddo tout en avançant doucement vers ce dernier afin de l'obliger a reculer pour continuer a assaillir son adversaire d'un jour , mais il devait faire attention a ne pas déclencher sa soif de sang , sinon cela pourrait être catastrophique pour les deux protagonistes ...

Il est temps de faire chanter ces lames !!

par Aurore Céleste Mar 27 Jan - 20:32

Des brumes au loin, un château, celui du Duc ... Emmitouflée dans un chale de laine, la jeune femme marchait, un bâton à la main. Elle avait été invitée à poser les pieds sur ce sol tremblant encore des derniers évènements. C'est sans faille qu'elle s'approcha du château avec ses convictions, son honneur sans faille, son courage et sa détermination.

Il en fallait bien pour avoir tenu face à l'adversité de la vie. Pourtant, on ne peut pas dire que la jeune fille était des plus préparées à une vie mettant entre ses mains la lame des justes.
Néanmoins, tout en admirant le paysages, ses certitudes étaient inébranlables. Seul son coeur vascillait quelque peu ses derniers temps. Pour cela, la seule issue était de plonger dans le travail et de ne plus se préoccuper de cet organe qui se serrait bien des fois. L'oubli est souvent bien plus sûr que la déraison.

Empruntant le chemin vers le pont levis, elle vit des silhouettes au loin, à contre jour face au soleil qui réchauffait quelque peu l'atmosphère. Elle fixa la scène quelques instants puis reprit sa route, arrivant enfin face à l'édifice.

par **Eddo Puègmirol** Mar 27 Jan - 23:01

Eddo continua le test en dirigeant son adversaire soit vers l'avant soit en reculant, il n'essaya pas de le blesser mais de faire des passes d'abord simple, puis de plus en plus rapide. Eddo ne connaissait pas les passes difficile des dagues, mais comptait plus sur une rapidité continue. Jouer sur l'endurance et la dextérité plus que sur la finesse.

Une ou deux fois il tenta d'acculer son adversaire jusqu'à la ligne imaginaire de font de "lice" afin de voir ses réactions, de tester ses réflexes, de voir si les évènements d'hier se reproduirait.

Malgré le froid, l'entrainement faisait suer les hommes mais le plaisir de gouter au chocs des lames était pour Eddo bien plus important que le temps ou toutes autres occupation. Cela ne lui interdit pas de suivre du regard l'arrivée d'une silhouette connu.

par Vaelorian Mar 27 Jan - 23:23

Vaelorian faisait danser ses lames a un rythme acceptable et pas trop épuisant pour tenir assez longtemps , ils avançaient et reculait a intervalles presque réguliers quand il sentit un geste venir presque naturellement , avec ses deux dagues il attira les deux d'Eddo pour les faire baisser puis tenter de lui asséner un coup de pied a l'épaule , contact leger , juste pose le cou de pied contre l'épaule pour ajuster sa hauteur , ces coups avec ses pieds n'auront pas de force aujourd'hui , il ne souhaite point faire de mail au Maitre d'Arme , hors de question de le blesser !!! Il n'empéchera pas d'essayer de recommencer ces ajustement de hauteur juste pour lui montrer qu'il peut l'atteindre

par **Eddo Puègmirol** Mar 27 Jan - 23:39

Surprit du coup Eddo reculât, voilà chose fort peu habituel mais qui pouvait être utile au combat. Pour corser le jeu Eddo monta la vitesse de façon crescendo, attaquant de plus en plus et de plus en plus vite. Il restait tout de même sur ses gardes au cas où le jeune homme aurait encore d'autres surprise dans son escarcelle. Pour le tester plus Eddo le poussa jusqu'au plus loin de la lice pour le voir réagir face au risque imminent de perdre.

par Vaelorian Mer 28 Jan - 14:25

Vaelorian reculait pas après pas , n'arrivant pas a contré l'avancée du Maitre d'Armes , ce dernier était extrèmement doué et joue a son niveau relevait de l'exploit , le coup asséné quelques minutes avant était maintenant insortable du fait de la vitesse des lames , au risque de se faire taillader la jambe , il faudrait éviter les blessures inutiles , il décida d'essayer d'accélérer au vue du fond de lice , perdre il ne pouvait , pas maintenant du moins il avait encore assez d'énergie , et il contenait encore assez bien son Risk ( Soif de Sang ) ...

Le fond de lice approchait trop rapidement a son gout , il s'obligea a sortir tout ce qu'il avait appris lors de ses entrainements via les ouvrages Italiens et Germaniques , qui lui rappelaient comment retourner une situation , mais le danger de blessure était tel que sans la liberation du Risk , il ne pourrait se sortir de la ...

Rhaaaaaaaaaaaaaaaa

Vaelorian degagea les deux Lames du Maitre d'Arme pour le charger puis l'enlacer de ses bras avant de se mettre a tourbillonner jusqu'au milieu de la lice , mais le Maitre d'arme avait laisser ses lames filer sur les cotes de Vaelorian qui fut cisaillé de chaque coté ... mais se retrouvant au milieu de la lice a nouveau ...

Essoufflé , bléssé mais n'ayant pas encore perdu , Vaelorian essayait de tenir en respect le Maitre d'Arme qui fut étourdit par cette manoeuvre un peu surprenante ...

Avec une cotte je pourrait continuer ...

Vaelorian s'ecroula , sa veste imbibée de sang chaud et épuisé par plusieurs heures de combat intensif ...

par **Eddo Puègmirol** Mer 28 Jan - 21:02

L'endurance du jeune homme était bonne, il lui avait fallut attendre d'être acculé pour perdre patience. Il s'était sortie de là de façon stupide, pour sur. Mais non sans panache et sans respect pour lui même.

En effet Eddo fut largement surpris de la façon dont il "s'échappa" mais ses efforts se lisait sur son visage pour garder la maitrise sur sa personne et cela n'avait pas manqué de faire plaisir à Eddo.

Mais voilà, plutôt que de se reconnaître vaincu, il préférait se mettre en danger. Et que ce danger l'avait blessé. Eddo aurait du faire attention, mais d'abord il n'était pas maître d'arme et ne se battait jamais pour rien, ensuite, une tel réponse d'un adversaire était tout bonnement impossible à prévoir.

Pourtant Eddo avait réagit au plus vite quand il avait senti les lame s'enfoncer dans la chair tendre des hanches. Cela évita le pire, pas la blessure, mais le pire n'était pas arrivé.

Eddo regarda le pauvre jeune homme qui était devenu blanc mais qui voulait continué, puis le voyant tombé, Eddo nettoyât ses dagues, puis les rangea. Il n'y connaissait rien en soin, mais s'approchât du jeune homme pour voir s'il était mort. Le voyant respirer, Eddo alla chercher Dincan l'incapable et lui dit.

J'ai un blessé sur ta superbe lice, trouve une civière, un médecin et fait le soigner, correctement!

Puis Eddo retourna prêt du blessé en attendant les soins.

par **Mélisende** Mer 28 Jan - 21:40

la jeune dame était tranquillement à s'adonnera au joie de la couture quans dincan, hors de lui et dans un état d'hyperventilation certain, poussa la porte avec violence. Le calme reignaint dans la piece, un telle vacarme lu valu de s'enfoncer l'aiguille dans le doigt. Elle reussit à contenir sa colère et retint un cris. Elle fusilla l'homme du regard, son teint devint livide quand elle se rendit compte que sa chemise était tachée de sang.

Et bien mon pauvres amis, dans quel état etes vous ?

Il ne s'agit pas de moi madame, mais du sieur Vaeloria, il a été blaissé à la lice, le sieur eddo demande de l'aide.

la dame reagit sur le qui vive, elle attrapa des herbes et des linges, elle enfila sa cape.

Aller chercher la civière au sous sols et rejoignez moi devant le chateau.

la elle fit sortir 2 chevaux, un pour elle et une autre, à qui on attela la civière, elle se renseigna aupres de dincan sur les lieux du drame et partit dans la direction.

Au loin elle pouvait voir les silhouettes se dessiner. Elle heu la mauvaise grasce de trouver le jeune homme couché sur le sol Eddo à ses coté. Elle ne dit mot mais le regard qu'elle lanca à son chevalier protecteur était clair. Elle soigna autant que possible les blessure de vaelorian avant de demander à ce qu'on le place sur la civère.

ca va faire un peu mal, lui avait elle juste dit au moment ou elle avait poser les feuilles sur son torse elle avait ensuite posé delicatement les linge pour les laisser absorber le sang.

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