Vous avez dit au loup ?

par Louis1er Lun 9 Mar - 10:14

Levé du soleil. Louis est déjà dans la cours, fastidieux prêt pour la petite balade en montagne. Sur les monts enneigés, le soleil apparaît tout orangé. Louis s’est vêtu chaudement se matin, on ne savait jamais comment une journée en montagne pouvait tourner même si celle-ci s’annonçait splendide. Louis attendais ces camarades de jeu, aujourd’hui, il fallait trouver les loups qui n’arrêtait pas d’approcher les étables d’un village non loin. Il terrorisait les pauvres paysans…

Louis attacha avait prévu deux carquois, une pique. Il avait hâte de se changer les idées et de passer un simple moment entre ami… qu’il attendait patiemment d’ailleurs…

par **pygaer** Lun 9 Mar - 10:33

Pygaer arriva en hâte tenant son cheval par les rênes. Il constata que le Duc était déjà là, à l'attendre en souriant. Il lui rendit son sourire et dit:

"Monseigneur, je constate que tout ce que l'on dit à votre sujet est vrai. Il est difficile d'être quelque part avant vous. Je suis prêt à vous suivre où vous le désirez, Votre Grâce."

Il prit le carquois que lui tendait le Duc, inspecta la corde de son arc, cala sa pique et sauta à cheval.

"Prêt Votre Grâce". Il attendit patiemment que le Duc lui donne des directives

par **Eddo Puègmirol** Lun 9 Mar - 21:00

C´était devenu une mauvaise habitude, mais pour une fois il avait une bonne raison. Eddo était en retard, mais il venait de Zumaglia, se qui expliquait la chose. C´est chaudement habiller qu´il arriva dans la cour, son armure de cuir était peu visible derrière sa peau d´ours qui le réchauffait largement sur les routes de Bielle. Il arriva devant la cours, mais derrière la herse et regarda le duc et le seigneur qui semblait discuter, alors qu´il allait se signaler, Rêveur souffla en faisant taper ses sabots contre la pierre de la porte. Eddo le regarda en souriant et dit.

Mes seigneur, bien le bon jour, comment vous portez vous? Prêt pour notre petite aventure?

Attendant de les voir sortir, Eddo donna un coup de rêne à droite à Rêveur pour le mettre prêt au départ.

par Louis1er Mar 10 Mar - 10:55

Eddo était là... Son ami vêtu dans une belle peau d'ours était en parfaite forme. La journée allait être longue et Louis pourrait peut être enfin oublié se qui le rongeait en son intérieur...

Bien le bonjour Eddo. Nous somme prêt pour l'aventure, quand à l'autre question, je te répondrais que cela va au mieux que cela puisse aller.

Les trois compères partirent au gallot vers le petit hameau de montagne qui subissait les attaques. Ils galopèrent pendant une petite demi-heure sur le chemin sinueux qui traversait les vignes et menaient au bord du lac. Le soleil se levait doucement, mais les trois cavaliers ne prirent pas le temps de l’observer. Le hameau était vide… ils le traversèrent au trot, un peu plus haut un attroupement autour d’une étable… L’équipe s’approcha au pas doucement…

Holà mes amis, que se passe t’il ?

Les paysans dans un premier temps hostile contre leur seigneur expliquèrent ce qu’il s’était passé. Les loups avaient attaqué en meute et le portail de la bergerie avait cédé au mouvement de panique des pauvres moutons enfermés. Le reste c’était fini dans un grand massacre…
Louis promis au berger de les indemnisés de l’intégralité des moutons perdus mais surtout qu’il allait régler le problème immédiatement.

La piste était bien visible dans la neige qui était tombé la veille, il mettrait bien vite la main sur la meute…

Allons-y…

par **Eddo Puègmirol** Mar 10 Mar - 16:41

Galoper sur la neige, dans le froid, comme un oiseau qui vole, libre. Eddo s´imprégnait de l´atmosphère de sommeil de la nature, mais se sommeil était léger, l´on voyait partout la froidure laisser place doucement a un printemps toujours lent et précautionneux, comme il va à un chasseur.

La route les menaient à travers les lande d´Italie de ville en village, de bourg en hameau, Eddo ne savait où ils allaient, mais il gardait juste du coin de l`oeil les environ, pour les aux cas ou. Le voyage les mena vers les montagnes, vers ces lieux remplit d´épaisse foret et de petit hameau disperser de ci de là. Eddo fut étonner qu´un tel lieu soit attaquer par des loup, généralement peupler de bucheron, c´était des lieux ou la loi se faisait plus légère, nombre de brigand rechercher, de vile mécréants, d´hétérodoxe vivait dans ses communautés éloigné de tout.

Eddo fut d autant surpris qu ils aient demandés l´aide du duc, mais a la vu de la bergerie, Eddo compris, il devait y avoir une meute, un ou deux alpha mâle, des femelle qui vont commencer leur gestation, c´était une période difficile dans les meutes, le moment ou les jeunes mâles manque de viande et on leurs première monté de désir.

Les propos du Duc, si elle avait assurément donner calme et satisfaction aux gens, n´était pas du gout d´Eddo, mais il ne dit rien, admirant la "route" tracée par les bêtes affolées, la route serait laide, mais facile a suivre, pour sur.

par **pygaer** Mer 11 Mar - 14:38

Pygaer eut tout d'abord du mal à suivre l'allure imposée par le Duc et par Eddo. Cependant, après quelque temps, il trouva ses repères et il chevaucha de concert avec ses compagnons. Arrivés sur les lieux de l'incident, Pygaer entendit le duc deviser avec les habitants dans une langue pour lui inconnue. Cependant, point n'était besoin de comprendre la langue en constatant les dégâts causés par la meute de loups. Car il s'agissait bien d'une meute et non d'un loup solitaires. Là un mouton égorgé, là une clôture enfoncée, plus loin les cadavres d'autres moutons. Il était toujours plongé dans ses réflexions lorsqu'il entendit le duc dire

"Allons-y...."

Il reprit le contrôle de sa monture en la contrôlant des jambes et des genoux, prit son arc d'une main et encocha une flèche.

"Il vaut mieux être prêt à toute éventualité," se dit-il, "on ne sait jamais qu'un de ces animaux soit encore dans les parages".

Il suivit le duc et Eddo, l'oeil et l'oreille aux aguets. Les trois hommes suivent les traçes de la meute en silence. Eddo, à droite du Duc Louis scrute le paysage devant eux comme un vieux briscard. Rien n'échappe à son regard perçant. Le Duc quant à lui, suit la piste de la meute, observant tout ce qui se passe autour. De temps en temps, il s'arrête, descend de monture, examine la piste encore fraîche ainsi que les excréments. Pygaer examine les environs, l'oeil aux aguets et prêt à décocher une flèche sur le premier danger venu. Pour l'instant tout va bien, mais Pygaer sent cependant une présence hostile autour d'eux. Les chevaux la ressentent aussi, deviennent nerveux et renâclent. Les 3 hommes entrent dans un passage entre deux pans de roche. Soudain, au détour de la route, ils arrivent devant l'orée d'une forêt. La piste de la meute s'enfonce dans les taillis. Les trois hommes marquent un instant d'arrêt

par Louis1er Jeu 12 Mar - 15:54

Louis pista la meute pendant bien deux bonnes heures. Il regardait le paysage descendais de cheval, et relançait la traque. Il se servait de son art, l’un des seuls d’ailleurs qu’il avait su développer à la perfection. La chevauché s’était effectué dans le silence, chacun dans sa bulle, louis dans sa tristesse et mélancolie. Mais cela lui faisait du bien de se retrouver avec des gens qu’il aimait dans la nature…

La piste s’engageait entre deux pans de roches, depuis quelques moment les chevaux devenaient nerveux… Louis savait que l’on était tout proche du lac. La meute avait du élire domicile non loin de là pour l’accès à l’eau… une fois le passage passé, il y avais la petite forêt. Maintenant, il fallait y aller à pied, de toute manière, les chevaux refuserais d’aller plus loin. Louis fit signe à ses compagnons de laisser la leur monture. Il ne fallait surtout pas les attachés pour leur permettre de fuir au cas où.

Il sauta et attrapa dans une main ses deux lances, dans l’autre son arc après avoir attaché ses deux carquois. Il avait également prit 3 torches qu’il avait placé à sa ceinture. .. Dans un immense sourire à Eddo et Pygaer il déclara…

Que la chasse commence, éviter de tuer les femelles, ont pourrait les capturer pour avoir leur louveteau… Attendez moi là…

Louis s’engagea dans le plus grand silence le long de la piste, il prenait plaisir à se fondre dans le bois… A quelques mètres, une quinzaine de loups dormais. Il y avait cinq, six femelles proche de mettre bas, elle ne serait pas un danger. Quelques jeunes males s’amusait à côté du lac. Par contre, il y avait 5 gros loups dont un immense, sans aucun doute le chef de meute. Le combat serait rude… Louis revint vers ses amis à pas de loup... ( ) il leur expliqua la situation à voie basse et donna pour ordre de tuer les jeunes loups d’une flèche bien placé. Cela ferait des adversaires de moins immédiatement alors que sur les loups adultes, serait plus énervé qu’autre chose…

Les loups n’avaient pas encore compris la présence de leur pire prédateur. Le massacre pouvait commencer…

par **pygaer** Jeu 12 Mar - 17:21

Pygaer écouta les directives du Duc. Il se faufila prestement dans les taillis, à la recherche du meilleur emplacement. Il se posta derrière un feuillu très dense et s'assura d'être sous le vent. Il aperçut les jeunes mâles dont le duc avait parlé. Il déposa sa pique et banda son arc. Calmement, posément, il encocha une flèche, prit le temps de viser, retint sa respiration et décocha. La flèche fonça droit sur le jeune loup le plus proche et lui transperça le coeur. L'animal tomba foudroyé, arrêtant du même coup les batifolades de ses congénères. Ils regardaient à gauche et à droite, humèrent l'air, vinrent pousser de la truffe le cadavre du loup mort. Pygaer refit la même opération blssant cette fois-ci au autre jeune qui se mit à glapir de douleur. Ses amis pendant ce temps ne restaient pas inactifs. Leurs flèches firent également mouche sur certains blessant certaines des bêtes.
Les grands mâles se mirent alors en position et le dominant huma l'air tout en grondant sourdement et inpectant les environs des ses yeux dorés.

Voulant alors se déplacer légèrement, Pygaer commit une toute petite erreur. Son pied marcha sur une brindille de bois sec qui craqua sous son poids. Aussitôt, les loups s'arrêtèrent de jouer, les gros mâles commencèrent à gronder en regardant dans sa direction. Le mâle dominant vint se placer devant les autres puis poussa un cri perçant, qui déchira le froid comme un couteau. Conscient de sa gaffe, Pygaer eut encore le temps de décocher trois flèches à toute vitesse mais sans résultat, les animaux ayant quitté l'endroit visé. Voyant la meute arriver sur lui, il jeta son arc, prit sa pique de la main gauche et son épée dans la droite. Il attendit les loups de pied ferme, se demandant si ses amis arriveraient à temps pour le sauver. Etrangement calme, il attendit l'assaut de la meute des mâles. Au loin, il entendit le duc et Eddo foncer derrière la meute.

Une dernière flèche tirée par le duc atteignit un mâle à une patte arrière. Grondant de douleur, l'animal se retourna, arracha la flèche avec sa gueule, puis reprit sa course vers l'avant, en ralentissant à peine l'allure. Sentant le danger, le mâle dominant s'arrêtà net, fit volte-face et regarda le duc qui accourrait. Il ouvrit la gueule, gronda sourdement et fonça vers Louis en compagnie de deux congénères. Entre les deux groupes, Pygaer aperçut Eddo qui sortait de sa cachette, attirant ainsi une autre partie de la meute en furie. Pygaer se reconçentra sur les deux, trois loups qui fonçaient sur lui. Abandonnant son épée, il prit la pique à deux mains et attendit la charge.

par Louis1er Mar 17 Mar - 16:43

Tout le monde se mit bien vite en place. Moi de même. Pygaer avait déjà abattu un jeune, tout comme eddo, ma flèche fit mouche aussi. Puis j’entendit un crack. Pygaer avait marché sur un bois mort révélant sa position. Il n’était plus temps de jouer, je tirais une dernière flèche qui se logeait dans la patte d’un des loups, et me mit à courir pour rejoindre mon ami. Deux loups et le chef de meute se retournèrent et vinrent vers moi, le combat allaient être amusant… Je regardais mes compagnons, ils étaient dans la même situation que moi. Je posais un genoux à terre, posant deux de mes lances sur le sol, prenant la troisième en main, j’attendais.

Les loups grognaient et montraient leur dent, la terreur ne m’envahissait pas bien au contraire, j’étais prit d’un rire, que je tachais de contenir. Je gardais mon regard droit dans celui du chef de meute, je souriait… Je souriait tout en sentant monter en moi la fureur du combat. Je ne faisait plus qu’un avec la nature, ces mouvements tant et tant répéter pendant les entrainements me permettait de regarder autour de sentir ce qui allait se passer. Je m’était place de telle sorte que les loups devaient me faire front, il ne pourrait m’encercler car un buisson infranchissable était derrière moi.

Je ne faisais plus attention à mes compagnons pour le moment, je savais que le combat allait commencer d’un moment à l’autre. Le loup de droite sauta, je relevais la lance, la plantant dans son cou, je sentais la douce chaleur de son sang me réchauffer. D’une simple roulade sur le côté après avoir lâché la lance, j’évitais la bête mourante et me remettait en position avec une nouvelle lance. Les deux animaux restant avait quelque peu compris la situation périlleuse dans laquelle il s’était engagé.

Le deuxième subirait sans aucun doute subir le même sort, le chef de la meute avait sans hésité sacrifier ses deux lieutenants pour me tester. Tout se passa comme prévu, désormais nous nous faisions fasse, lui et moi savions que le combat serait rude, et que ce qui venait de se passer ne se reproduirait pas. Je me remettais néanmoins en position avec la dernière lance face à mon adversaire. Mon regard ne lâchait pas le sien, nous nous testions…

par **pygaer** Mer 18 Mar - 10:23

L'attente fut courte. Le premier loup sauta sur Pygaer, la gueule ouverte, l'oeil mauvais. Pygaer eut juste le temps d'effectuer une feinte de corps et l'animal, emporté par son élan vint s'écraser contre la masse rocheuse protégeant les arrières de Pygaer. Momentanément débarrassé de ce problème, Pygaer sentit plus qu'il ne vit le deuxième animal. Instinctivement, il baissa la tête et tendit sa lance vers l'avant. Le loup vint s'empaler sur celle-ci en lâchant un long hurlement de douleur. Mais même pendant son combat contre la mort, la bête tentait de mordre tout ce qui passait à distance de ses crocs.
Pygaer sentit un liquide poisseux inonder ses mains, le sang de l'animal sûrement. La bête, touchée mortellement, se débattit quelques instants contre la venue de la mort puis resta immobile.
Pygaer, essoufflé par cette première attaque, le corps en sueur, lâcha sa lance et se tourna vers le dernier animal. Il tira sa dague et attendit.
L'animal, un des jeunes de la troupe hésitait; il avançait, reculait, courait de gauche à droite, montrait les crocs mais n'avançait pas. Puis, il fit demi-tour, retournant vers les femelles qui avaient créé un cercle défensif autour des louveteaux.
Pygaer souffla. Le corps moite, en sueur, les cheveux collés sur son visage, il se releva et... retomba de suite à terre, un poids énorme venant de se jeter sur lui

"Le troisième, Pyg, tu as oublié le troisième" pensa-t'il

La situation était dangereuse à souhait. Il sentit les crocs s'enfoncer dans son col en cuir, il ressentit les coups de pattes et de griffes sur son corps et ses bras. Il sentit enfin les dents du loup s'enfoncer dans son bras, mordant ses chairs. Dans un effort surhumain, Pygaer réussit à prendre sa dague de sa main libre et frappa de toutes ses forces dans la direction présumée de l'animal.

La chance lui sourit, il atteignit son objectif du premier coup. Il frappa encore et encore, sans regarder. Il frappa comme un fou jusqu'à ce qu'il sente enfin l'étreinte des dents se relâcher.

Pygaer se releva péniblement, le souffle court, la respiration rapide. Son bras lui faisait mal et il regarda sa blessure. Ses vêtements avaient absorbé la plus grande partie de l'attaque mais du sang coulait de son bras. Il examina la blessure et constata qu'elle n'était pas trop grave. Il ramassa ses armes, la respiration encore sifflante. Il fit quelques pas puis tomba à genoux, brisé par l'effort. Il regarda ses compagnons qui eux continuaient à se battre contre les autres éléments de la bande.

"J'arrive les amis" cria-t'il mais eut soudain un vertige. La tension du combat sans aucun doute. Il lui fallu un bon moment avant de reprendre et son calme et ses esprits. Il se releva enfin, la dague encore poisseuse prête à frapper et s'avança d'un pas lourd

par **Eddo Puègmirol** Mer 18 Mar - 11:11

Le calme d'avant les batailles remplissait Eddo, il n'est pas grand amateur de la chasse au loups, mais au vu des dégâts qu'ils avaient commit, il était important de les arrêter. S'attaquer à une ou deux brebis égaré, c'était normal, mais s'en prendre à toute une bergerie, voià une chose bien plus grave, assurément. Eddo pensait quand même que les villageois devaient pas être aussi passif devant les loups, ils vivent non loin d'une forêt bon sang, ils connaissent ses dangers!

Alors qu'ils s'approchaient de la meutes, les deux expert de l'arc firent voler leurs flèches avec célérité et dextérité. les loups tombait sous la plus de flèches, mais, car il y a toujours un "mais", un son si infime qu'Eddo li ne l'avait pas entendu, un son permis aux loups de trouver une proie. A partir de là, tout s'enchaina, Louis et Eddo qui contournent les loups, Louis qui à des réactions proche de la soif de sang de Vaelorian, Eddo tout en se préparant au combat était inquiet pour son ami. Aimer le combat était une chose mauvaise, se battre était un mal nécessaire. Mais ça restait un mal.

Tout en posant méticuleusement ses armes à porter de mains et en gardant l'oeil sur ses adversaire, Eddo fit le vide dans son esprit, il étudiait le terrain, les lieux d'où les loups pouvait lui sauter dessus, les encerclement possible, son espace par rapport à l'allonge de sa lance, la hauteur des branches, le sens du vent, la dureté u sol, le comportement des femelle qui était la variable la plus dangereuse. Si par malheur on s'approchait trop, elles attaqueraient avec une violence lunaire et elles profiteraient que les mâles est affaiblit les adversaires pour se servir du duc et des deux seigneur comme nourriture pour louveteau.

Puis le premier Loups se mit à courir autour d'Eddo, pensant que la roche derrière lui serait un bon point d'appuis pour l'attaquer, mais une fois lancer une lourde lance le rencontra dans son flan, elle profita de l'inertie pour casser une cote et s'enfoncer dans les boyaux du loups, Eddo la tourna un peu afin de s'assurer que le loups y resterai, puis Eddo accompagna une partie de la descente du loup pour qu'il tombe loin de lui. Du coin de l'oeil, il vit que les choses se corsait, deux autres loups s'était mit en position d'attaque, deux d'un coup...

Eddo regarda ses armes, il attrapa son Fléau, il se mit dans une position a demi de bout, jambe fléchit, pied d'appui fort, fléau qui prend de la vitesse. Les deux loups attaquèrent au même moment, avec un angle de 90°, un légèrement à droite, l'autre légèrement à gauche. Eddo eu n sourire, c'était une stratégie qu'il avait étudier, les ripostes offerte étaient peux nombreuse et pa sans dommage, mais qu'a cela ne tienne, son armure de cuir était là pour ça.

Il glissa lentement d'abord puis rapidement vers l'animal le plus fort, et quand celui-ci attaqua, il pu faire la rencontre du dernier argument d'Eddo, qui pour lui se fini avec une boite craniene de bouillit, mais l'autre loups avait attaqué. Eddo n'eut que le temps de se laisser tomber à terre en lâchant le Fléau.

L'avantage d'avoir bien étudier le terrain fit qu'Eddo tomba sur son coté droit, prêt de... son épée, comme prévu et que le loup lui tomba sur une partie du terrain en contrebat d'Eddo. Celui-ci se remit directement debout épée au clair, prêt à en découdre avec son dernier adversaire.

par Louis1er Lun 23 Mar - 13:16

Mon regard était plongé dans les yeux marron du prédateur. Il s’était mi à tourner autour de moi, il montrait également ses crocs. Je sentais que l’attaque était proche… Le loup s’avançait inexorablement pas à pas, la lance allait bientôt devenir un problème car peut maniable. Je l’avais compris avant qu’il ne soit trop tard. Il me fallait donc réagir au plus vite… Je reculais de trois pas vers l’arrière et un sur le côté, armait mon bras et lançais ma lance comme un javelot. Je visais le corps de l’animal, cherchant à le blesser. Mon coup fit mouche et mon ennemie grogna de douleur. Désormais il était blessé, je n’avais plus qu’à sortir ma lame et à me préparer au combat.

Le vent se mit à souffler dans les arbres. Une douce brise glacé qui me rafraichit le visage et me fit frissonner. C’est à cet instant précis que mon redoutable adversaire attaqua, juste au moment ou mon bras s’était un peu abaissé. Je nu même pas le temps de réagir que je me retrouvais au sol, le bras lacéré. Je sentais sur mon visage, l’haleine puante de mon bourreau. Je lui souriais… de mon bras encor valide, j’avais attrapé la dague à ma ceinture, j’avais et je lavais poignarder dans la gorge avant que ses crocs n’est atteint la mienne.

Je sentis alors ce flot continue de chaleur liquide, la vie du loup s’en allait, me laissant la mienne. Je le repoussais sur le côté et me levait. Mon bras me faisais un mal de chien, mais n’étais pas cassé. Il faudrait au plus vite le nettoyer et le bandé. Je prenais enfin le temps de regarder ou en était mes compagnons. Tout se passait bien, il faudrait tuer les louves désormais, mais nous pourrions le faire à distance avec les arcs pour celle qui ne pouvaient plus bouger, les autres avaient filés… Je prenais mon arc d’une main encochait une flèche… j’attrapais un morceau de bois dans ma bouche et serrait les dents au moment ou je bandais l’arc. Je visais la dernière bête qui faisait face à Eddo. Le trait parti vers sa cible, je lâchais l’arc de douleur et m’assis contre un tronc…

par **pygaer** Lun 23 Mar - 16:24

Au prix d'un effort considérable, Pygaer se mit à courir vers le Duc. Arrivé à mi-chemin, il ne put qu'assister en spectateur impuissant au spectacle. Il cria quand il vit la bête fouiller des crocs et des pattes le bras de Louis. Il tenta d'accélerer le pas mais vit avec stupéfaction d'abord et ravissement ensuite que le Duc avait repris l'avantage. Il le vit se relever péniblement et décocher une dernière flèche en direction du loup qui faisait face à Eddo. Il regarda dans cette direction et constata que ce dernier, en homme expérimenté, aurait tôt fait d'avoir le dessus. Pygaer se concentra alors sur le duc dont la pâleur faisait peur à voir. Il était assis contre un tronc, serrant de sa main valide le bras blessé. Du sang coulait abondamment du membre blessé mais Pygaer n'aurait pu dire s'il s'agissait du sang de la bête ou du sang de son ami. Il parcourut les derniers mètres qui le séparaient de Louis d'une traite. Il s'agenouillat près de lui:

"Pardonnez moi, Votre Grâce, tout est de ma faute. Si je n'avais pas été aussi stupide de marcher sur cette brindille. Je m'en veux, Monseigneur, je vous implore de m'excuser. Puis-je regarder votre blessure?"

Sans attendre la réponse, Pygaer se mit en devoir de couper aussi doucement que possible la manche qui entourait le bras blessé. Ce qu'il découvrit le fît pâlir mais il avait déja vu pire. La blessure cependant nécessitait des soins immédiats si le Duc ne voulait pas mourir exsangue ou perdre un bras. Il prit les deux pans de la chemise découpée.

"Excusez-moi, Seigneur, je vais vous faire mal, mais je dois vous bander le bras au dessus de la blessure pour empêcher le sang de couler."

Prenant le grognement de Louis pour un oui, Pygaer entoura le bras blessé avec les pans de chemise et serra fort, très fort, oubliant sa propre blessure. Il prit ensuite un bout de bois, noua les pans de chemise autour et commença à tourner cette manivelle improvisée. Il serra autant qu'il put, et constata avec plaisir que le sang cessa de couler. Il posa la main valide de Louis sur le tourniquet, prit sa gourde et rinça la blessure à grande eau.
"Messire Eddo, Eddo, venez vite, le Duc à besoin de vos soins"cria t'il en direction de leur compagnon d'infortune

par **Eddo Puègmirol** Mer 15 Avr - 16:42

Alors qu'Eddo allait s'attaquer au dernier loup, une flèche passa prêt de lui et se figea dans le loup. Eddo est la bête se regardèrent de deux. Puis dans un grognement le loup s'élança vers son adversaire. Eddo eu pitié de la bête, qui même toucher au flan s'élançait courageusement contre les adversaires venu attaquer leur petits.

Le saut du loup ne fut pas merveilleux, il manquait de force et Eddo en était sur de volonté. Il fracassa sans ménagement le crane de la bête dans sa descente. Puis s'agenouilla prêt de l'animal agonisant lui disant à voix basse. Va, noble adversaire, part rejoindre les tiens dans les prairies de Freyja, ne craint rien, tes petits resterons en vie. Alors qu'Eddo finissait la besogne en égorgeant le loup, le seigneur de Montgirod l'appela.

Messire Eddo, Eddo, venez vite, le Duc à besoin de vos soins

Mettant le bois du fléau sur son épaule, le fer tombant nonchalamment dans son dos,, il s'approcha, regarda le massacre et dit. Et bien duc louis, je ne vous laisserai plus seul au combat, vous être que trop téméraire. Je ne suis pas médicastre, mais rentrons, je suis sur qu'un rebouteux ou une sorcière sera vous soigné dans le hameau. Eddo siffla les fameuses trois notes discordante pour appeler Rêveur, qui arriva et marcha l'air de rien sur la moitié des cadavre de loups. Eddo lui montra louis et Rêveur fit une chose si rare, qu'Eddo ne puis s'empecher d'en rire. Le poney en effet mit un genoux puis le second à terre pour aider le duc à le monter.

Voyez, noble assemblé, l'impétueux Rêveur, roi des poneys, maitre de la plaine et guerrier redoutable s'agenouiller devant Louis le Téméraire, duc de Bielle Dit Eddo en rigolant, puis lâchant son fléau, il aida le duc à monté Rêveur.

par Louis1er Jeu 16 Avr - 12:59

Je vit Eddo finir le travail, Pygaer était déjà sur moi en train de me soigné. Une fois sa tâche exécuté, mon ami arriva au pas de course. Les louves étaient partis, elles avaient compris que cet endroit n’était pas faite pour elle, qu’elle serait tué elles aussi. Nos montures furent appelé et un événement se produisit : le brave poney de mon ami se mit à genoux pour m’aider à le monter et il n’avait pas cherché à me mordre.

Voyez, noble assemblé, l'impétueux Rêveur, roi des poneys, maitre de la plaine et guerrier redoutable s'agenouiller devant Louis le Téméraire, duc de Bielle

J’éclatais d’un bon rire, malgré la douleur à la remarque d’Eddo. Puis montait sur sa monture. J’expliquais vite à fastidieux qu’il devrait bien écouté mon ami. Il semblait avoir compris. On chargea quelques loups sur les chevaux histoire de récupérer les peaux puis repartîmes pour Bielle. La je fut bien soigné, je garderais un bon souvenir de cette parti de chasse, et une belle cicatrice également.

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