Re: Cérémonies du 7 juin 1457

par Louis1er Lun 15 Juin - 12:08

J’écoutais avec attention le prêche de Monseigneur Aurélien. Le texte choisi était fort approprié, vu la situation que nous vivions. Il était désormais le temps de bénir notre fils. Je me levais avec notre Adrien dans les bras. Tendis une main à mon épouse qui se leva à ma suite puis nous avançâmes devant l’autel…

C’est à se moment là que notre petit homme ouvrit les yeux et nous regarda avec amour… Mon regard plongea quelques instants dans le sien.

par **Aelis** Lun 15 Juin - 12:13

Les paroles de Saint Barnabé et d'Aurélien respiraient le bon sens. Tout était si vrai dans leurs discours que la jeune fille fut parcourue d'un frisson, et serra un peu plus fort la main de Louise dans la sienne. Elle ferma un moment les yeux, repensant à toutes les vaines querelles qui avaient échauffé les cœurs ces dernières semaines, et un court instant, sa main rencontra celle d'Arthur, qu'elle savait par dessus tout éprouvé, obligé de choisir entre un père et un frère tous deux aimants... De toutes ses forces, elle espérait ne pas avoir à faire de même...

Puis elle rouvrit les paupières, et darda ses grands yeux noirs sur Mélisende et Louis, qui s'avançaient en direction de l'autel.

par Arthur Lun 15 Juin - 15:56

Arthur écoute sans un mot le prêche d'Aurélien. Le yeux mi-clos, il était bien dans cette église. une main rencontra la sienne, il la serra légèrement et sourit à Aelis, les yeux rieurs. Le jeune garçon poussa un petit soupire, resserra un peu son col blanc et or et retourna à son écoute, après avoir dit un bref:

Amen

par **aurelien87** Mar 16 Juin - 0:08

Aurélien fit un sourire aux deux parents qui s'avançaient maintenant avec leur jeune héritier dans les bras.

Adrien, fils de Louis de la Marche Di Cesarini et de Melisende Maledent de Feytiat, je te bénis au nom du Très Haut, de ses prophetes aristote et Christos, et de tous les Saints. Puisses-tu toujours vivre en suivant les vertueux préceptes que tes parents t'inculqueront.

Aurélien traca le signe de la croix sur le front du jeune Adrien.

Et nous tous, professons à notre tour notre foy en récitant notre credo

par **Mélisende** Mar 16 Juin - 0:34

Melisende ecouta attentivement le sermont de son cousin avant d'unir sa voix à celle des autre dans un amen

Elle s'avanca avec louis, pret d'aurélien qui benit le petit. La jeune mère ne pu s'epmècher de deposer un doux baiser sur la joue de son fils quand la croix fut finit d'etre tracée.

elle recita comme invité son credo

Cérémonies du 7 juin 1457 - Page 3 Credofrjs5

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par Arthur Mar 16 Juin - 2:50

Le jeune garçon fut très ému lorsqu'Aurélien prononça la bénédiction tant attendue. Il récita ensuite le crédo d'une douce:

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par Louis1er Mar 16 Juin - 7:30

Mon fils regarda son grand cousin dans les yeux quand il traça une croix sur son visage. Il souriait... Mon cœur battait fort, j’étais tellement fier de ce petit homme.
Ensuite, Mélisende l'embrassa sur la joue et entama le crédo ma voix se mêla à la sienne et l’assemblée suivit.

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par **Aelis** Mar 16 Juin - 11:23

Afin qu'elle put mieux voir, Aélis hissa Louise dans ses bras, la calant bien contre sa hanche. La petite dévorait la scène des yeux, comme si elle voulait s'en souvenir pour longtemps encore. Aélis, quant à elle, admira Louis, Mélie et Adrien avec émotion, luttant depuis les tréfonds de son âme pour ne pas verser sa petite larme. Ah ça non, il allait lui falloir apprendre à se contrôler un peu... Apprendre, apprendre, toujours elle se faisait des promesses à elle-même, ce n'était que rarement qu'elle les tenait !
Puis vint l'heure de réciter de crédo, sa belle voix de soprano et l'adorable mais fluette voix de Louise vinrent se mêler aux autres.

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par **aurelien87** Mer 17 Juin - 23:54

Aurélien prit le temps que tout le monde finisse bien de réciter son credo, puis il enchaîna:

Avant de passer à la communion, il me semble qu'il devrait y avoir deux cérémonies d'anoblissement. Louis, Melisende, vous pouvez y procéder. Nous communierons ensuite.

par Louis1er Ven 19 Juin - 14:38

Je tendis Adrien à sa mère tout doucement, une fois bien blotti contre son coeur, je m’avançais aux côtés d’Aurélien.

Merci Monseigneur pour ce prêche magnifique.

Je me retournais alors vers l’assemblée.

Mes amis, je vous remercie de vostre présence en ce lieu, et je vous remercie d’avoir été les témoins de la bénédiction de mon héritier. En ce jour, où l’on célèbre la vie, Mélisende et Moi avons décidé de remercier deux de nos proches. Je sais que le protocole aurait voulu que l’on commence par Aelis, mais nous en avons décidé autrement et je prie Aelis de nous pardonner cet écart.

En regardant Arthur et d’une voix autoritaire et ferme.

Arthur de la Marche, à genoux devant moi.

par Arthur Ven 19 Juin - 14:43

Le jeune garçon reprit son souffle à deux reprise puis se leva à l'adjonction de son frère. Il se dirigea vers lui d'une démarche souple quoi qu'un peu hésitante. Arrivé devant Louis Arthur le regarda un instant dans les yeux, plein de reconnaissance, puis il mit genoux à terre, comme on le lui demandait et attendit. Ce jours allait certainement être l'un des plus important et joyeux de son existence.

par Louis1er Ven 19 Juin - 14:54

Arthur, c’est avec honneur mon frère que je m’apprête à vous élever au rang de Seigneur. Vous avez toujours su être là à mes côtes, peut importe les épreuves et les choix douloureux que vous avez du faire. Vous nous avez servi depuis vostre engagement à nos côtés avec abnégation et perfection. Vous avez toujours su être là pour m’écouter, pour m’assister, me consoler. Je ne pourrais jamais assez vous remercier de tout ce que vous avez pu faire pour moi mon frère.

Sourire et visage ému…

Avant de me prêter serment, je dois m’assurer que vous reconnaissez ma légitimité, mon autorité sur les terres de Bielle. Que vous reconnaissez le serment de Bielle comme une façon de guider vos pas vers le chemin des vertus.

Que vous reconnaissez l’unicité de Dieu et ses deux prophètes Aristote et Christos ainsi que leurs livres et parole.

Que vous reconnaissez sa Majesté LongJohnSilver comme notre légitime suzerain et que si il le demande, vous lui donnerez vostre vie, comme je ferais de la mienne.

Enfin, êtes-vous prêt à me faire serment d'obsequium, d'auxilium et de consilium. Après quoi, en échange, je vous apporterez notre protection.

par Arthur Ven 19 Juin - 15:04

Arthur écouta sans dire un mot ce que lui disait Louis, la tête baissée avec déférence. Il était prêt à tout pour lui, et plus encore pour l'Empire qu'il respectait plus que tout autre chose en ce monde. Aussi quand son frère et futur suzerain lui demanda s'il reconnaissait l'Empereur et s'il était prêt à donner sa vie pour lui il laissa se dessiner un maigre sourire sur ses lèvres: bien sûr qu'il l'était, et plus encore. Le jeune garçon ferma un instant les yeux puis répondit d'une voix forte, convaincue:

Mon frère, je vous ai toujours été fidèle, et je le serai toujours, quoi qu'il arrive, temps que vous respecterez votre serment envers notre Saint Empereur LongJohnSilver Ier.

Aussi devant vous je m'engage à respecter le serment de Bielle comme une façon de guider mes pas et ma conduite, comme la lumière qui m'indiquera la direction à suivre.

Je reconnais votre légitimité et votre souveraineté sur l'ensemble des terres du Duché de Bielle. De même je reconnais comme mon suzerain et souverain notre Empereur LongJohnSilver, le premier du nom,et pour lui je serai prêt à sacrifier ma vie, et même plus si cela était possible.

Je suis Aristotélicien, je reconnais donc les prophètes du Très Haut que sont Aristote et Christos et je promet de défendre ma religion au péril de ma vie.

Oui mon frère je suis prêt à vous faire serment d'obsequium, d'auxilium et de consilium, je le souhaite de tout mon coeur.

Ayant dit cela le jeune garçon se tut, et toujours tête baissée il attendit la suite...

par Louis1er Ven 19 Juin - 15:23

J'étais heureux...

Je vous écoute Arthur...

par Arthur Ven 19 Juin - 15:30

Le jeune garçon dit d'un voix claire:

Ce jour d'hui, je vous fait serment d'obsequium, auxilium et consilium à vous Louis, duc de bielle, mon suzerain. je vous serai fidèle jusqu'à ma mort.

par Louis1er Ven 19 Juin - 15:40

Ma main droite frappa du revers la joue gauche d’Arthur avec force.

Par la douleur que tu ressens, tu te souviendra de ton serment.

Je dégainait ma lame et la passais sur son épaule gauche, puis sur sa tête, puis sur son épaule droite en disant.

Nous, Louis1er, Duc de Bielle, Baron de Mosso, Seigneur de Pont de Veyle acceptons vostre serment, sommes désormais vostre suzerain et vous assurons de nostre protection. Que dieu, Aristote et Christos soit témoin de nos propos.

Je rengainais ma lame, saisissait une simple couronne en or et la déposait sur la tête d’Arthur.

Puis j’attrapais le petit sac de terre non loin et le tendis au seigneur de Cavaglia.

Voici la terre qui vous est remise, prenez en soin!

Après avoir saisi l’écu qui était derrière moi.

Voici les armes de vos terres, portez les fièrement.

Cérémonies du 7 juin 1457 - Page 3 169109Cavaglia

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Enfin, je m’approchais de mon frère et déposais le baisé vassalique sur sa bouche. Je terminais la cérémonie en disant.

Félicitation à vous mon frère et nouveau Seigneur de Cavaglia.

Je tendis à Arthur une copie de sa patente.

Nous Louis, Duc de Bielle, Baron de Mosso, Seigneur Pont de Veyle, avons anobli en ce dix neuf juin de l’an de grâce 1457, en présence de Melisende Maledent de Feytiat, Herault Es Joutes Impérial, Arthur de la Marche au rang de Seigneur de Cavaglia.

Faict à Bielle le Le 19 juin 1457
Louis1er,
Duc de Bielle, Baron de Mosso, Seigneur de Pont de Veyle.

Puis lui donna l’accolade Aristotélicienne.

par Arthur Ven 19 Juin - 15:49

Arthur ne broncha pas lorsque son frère le gifla, il s'y était préparé, il savait qu'il ne pourrait y couper. Puis il sentit le plat de la lame de son frère se poser sur ses épaules, l'une après l'autre. Il ne dit rien, savourant ce moment comme il se devait, ne voulant pas briser le charme qui s'opérait. Sur sa tête fut déposée la couronne en or, puis on lui tendit la terre de sa seigneurie. Le jeune garçon la saisit avec une immense déférence. Louis lui donna l'accolade, qu'il lui rendit de bonne grâce, très ému. Il dit d'une voix où pointait l'émotion:

Mon frère, je me montrerai digne de l'honneur que vous m'avez fait. je veillerai sur les terres et les gens de Cavaglia comme il se doit, et je vous ferai honneur en tout temps et en tout lieu. Je vous remercie beaucoup.

Le jeune garçon s'inclina devant son frère.

par Louis1er Ven 19 Juin - 16:27

Je fis un petit signe à Arthur pour qu'il laisse la place puis alla chercher Adrien dans les bras de Mélisende. C'était au tour de la douce Aelis...

A vostre tour vostre grâce…

Sourire et révérence

par **Mélisende** Ven 19 Juin - 16:40

Melisende assista à la ceremonie avec son fils dans les bras. Elle le rendit à son père et se dirigea au centre de l'eglise. La ou son epoux se tenait quelques seconde avant.

Mes cher amis et parents, pour paraphraser mon epoux, nous avons decidé de recompenser deux personnes proches de nous. Leur loyauté etant sans failles. Aelis, Approche toi je te prie.

La duchesse lui fit une reverence quand elle fut devant elle. La Baronne rochignait toujours à demander à une dame de se mettre à genoux. Elle ne trouvait vriament pas cela convenable. Elle fit donc apporter un gros cousin bien moielleux pour que les genoux de sa soeur ne souffre pas du sol.

a genoux je vous prie

par **Aelis** Ven 19 Juin - 16:55

Durant tout le temps que dura l'anoblissement d'Arthur, Aélis retenait stupidement son souffle, serrant Louise contre elle. Maintenant, son tour était venu. Lentement, elle lâcha la main de Louise, et enleva le bras qu'elle avait passé autour des épaules de la petite orpheline. Elle se leva, et alla rejoindre Mélisende au niveau de l'autel.

Intérieurement, elle sourit en voyant la délicatesse dont faisait preuve en toutes circonstances sa sœur, qui avait fait disposer un coussin afin qu'elle ne se brise pas les genoux sur la froide dalle de l'église.

Dans un bruissement d'étoffe, elle s'agenouilla, le regard humblement dirigé vers le bas, en l'occurrence les poulaines de Mélie, qu'elle trouva fort à son goût. Mais vite, elle éloigna ces pensées de son esprit pour se concentrer, avec une attention quasi-religieuse, à la suite des évènements.

par **Mélisende** Ven 19 Juin - 17:13

Melisende adressa un sourire à sa sœur qui regardait ses chausses.

Aelis, c’es un grand honneur pour moi que de vous élever au rang de Dame. Vous avez durant ces longues année, sut être à notre écoute, à nos coté en toute circonstance. Mais également ce qui a le plus d’importance à nos yeux, votre générosité est un don, ma sœur, ne la perdez pas, ces enfants ont besoin de vous maintenant.

Avant de prêter votre serment, Reconnaissez ma légitimité sur les Terres de Mosso?
Etes-vous prête à me faire serment d'obsequium, d'auxilium et de consilium?
Je vous ecoute pour votre serment

par **Aelis** Ven 19 Juin - 17:29

Écoutant sa sœur, elle rougit légèrement en l'entendant faire son éloge.
Puis distinctement, avec la voix mélodieuse qu'on lui connaissait :

- Oui, je reconnais vostre légitimité sur les Terres de Mosso, et suis prête à vous faire serment d'obsequium, d'auxilium et de consilium, vostre Grasce, ma chère et tendre sœur.

Aussi, Mélisende, vous fais-je ce serment, d'obsequium, d'auxilium et de consilium.

Elle lui sourit timidement, espérant n'avoir commis nulle maladresse.

par **Mélisende** Ven 19 Juin - 18:08

Elle prit une lame d’apparat, petite et légère, la fit passer sur son épaule gauche, sa tête, puis sur son épaule droite. Elle posa la lame et saisit une couronne qu’elle déposa sur la tête de sa jeune sœur
Cérémonies du 7 juin 1457 - Page 3 Seigneurzd6

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Nous, Melisende Maledent de Feytiat, Duchesse de Bielle, Baronne de Mosso, Dame de Pont de Veyle acceptons vostre serment, et vous assurons nostre protection. Que dieu, Aristote et Christos soit témoin de nos propos.

Elle attrapa un petit sac de terre qu'elle déposa dans ses mains.

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Prenez grand soin de la terre de Cerrione qui vous est remise et protégez vos gens comme il se doit

Melisende lui remis enfin l’écu de ses terres,

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Voici les armes de votre terres portez les fièrement et honorez les en toute circonstances

Elle enchaina en lui tendant ses armes personnelles.

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Recevez à présent vos écus personnels, qu’il flotte des à présent sur vos gonfanons.
Relevez-vous, Dame de Cerrione.

La duchesse termina par déposer un baiser sur les lèvres de sa jeune sœur, tradition du baiser vassalique.
Souvenez vous de cet amour en gage du lien qui nous unies. Voici une copie de votre patente. [b]

Nous Melisende Maledent de Feytiat, Duchesse de Bielle, Baronne de Mosso, Dame de Pont de Veyle, en la présence de Louis 1er, Hérault d’Armes Impériales es Savoie, déclarons prendre pour Vassale, Aelis Maledent de Feytiat.

Elle reçoit des ce jours, les terres de Cerrione que nous lui confions :

Elle portera les armes suivantes :
.

Fait à Bielle, Le 19 juin 1457
Melisende Maledent de Feytiat,
Duchesse de bielle, Baronne de Mosso, Dame de Pont de Veyle

[i]Avant d’enchainer sur la révérence, elle lui tendit une étoffe de soie qu’elle lui passa autour du cou.

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Une dame se doit d’avoir un foulard, laissez moi vous offrir le premier. Brodé par mes soins avec vos armes. Allez en paix Dame de Cerrione.

par **Aelis** Ven 19 Juin - 21:39

Tout sourire, elle se vit remettre par Mélisende un peu de terre de son nouveau domaine, que depuis quelques semaines elle se contentait de lorgner de loin, quand elle allait à San Michele... Puis elle se releva, et Mélie déposa un baiser sur ses lèvres. La jeune Dame eut beau chercher, elle ne trouva pas le moindre goût de fraise, sans doute avait-il été trop court... Enfin, de toute manière, elle ne ré-embrasserait pas une Dame de sitôt...

Puis la Duchesse lui passa une douce écharpe de soie autour du cou, qu'elle avait brodé elle-même...

- Merci Mélie, merci pour tout...

Elle lui sourit une fois encore.

- Comme Arthur, j'espère me montrer un jour digne de l'honneur que vous me faites.

par Louis1er Sam 20 Juin - 8:08

Les anoblissements étaient terminés, je fit signe à toute ma petite famille de retournée s’assoir, il était grand temps de finir l’office par le partage du pain et du vin.

Monseigneur à vous je vous prie, vous pouvez continuer l’office.

Sourire en direction d’Aurélien alors que je m’asseyais avec Adrien qui s’était rendormi…

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