Re: 23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle.

par **Aelis** Mer 29 Avr - 15:15

Tient tient... Aelis... J'aurai du me douter dès le début que tu étais derrière tout ça... J'espère que tu vas bien... et que tu es bien installer dans ton arbre, car tu ne vas en descendre de si tôt ma grande, tu peux me croire....
Vlad, assis. Si la madame descend, fait lui un gros bonjour bien baveux. Tu garde Vlad.

La jeune fille éclata de rire. Ah non, pas le gros Vlad !

Arthur, aie un peu pitié de ma pauvre âme ! Ton chien est plus baveux qu'un escargot de Bourgogne couplé avec Papa qui dort...

Hilare, elle se pencha un peu en avant afin d'apercevoir le dogue qui accourait auprès de son maître. Puis elle tenta un élégant coup de reins pour remettre en place ses petites fesses sur la branche qui la soutenait. Mais au même instant, une violente bourrasque la déséquilibra et l'entraîna en arrière.

Pendant une fraction de seconde, la jeune demoiselle se retrouva dans les airs, à expérimenter le principe de gravitation universelle. Elle n'eut même pas le temps de dire "Taratata" ni de crier qu'elle se retrouva les fesses dans la boue, en direct du plancher des vaches.

Quelques instants interdite, le temps de se rendre compte de ce qui lui arrivait, et la jeune Aélis repartit dans un éclat de rire dont elle avait le secret, tandis que Vlad lui sautait littéralement dessus pour lui lécher le visage et les mains. Beurk, c'est tout mou, chaud et visqueux une langue de chien. Elle avait déjà connu mieux. Beaucoup mieux !

- Hummmpf, Vlad, ça suffit maintenant, ça suffit !

par Arthur Jeu 30 Avr - 13:14

Arthur s'éloignait quand il entendit un bruit de chute dans son dos. Il s'arrêta et se retourna d'un bloc un seul afin de voir quelle catastrophe il s'était encore produit. Aelis était par terre, les fesses dans la boue, un peu étourdie et le chien, ce cher Wladislas, était déjà sur elle, en train de remplir consciencieusement sa mission. Vlad léchouillait la jeune fille de partout, avec joie, tout en remuant la queue à une vitesse inimaginable. Se rapprochant un peu Arthur l'observa une petite minute avant de le rappeler:

Aller Vlad, laisse la donzelle maintenant. VLAD! Obéit, file maintenant! Va courir après les chats, oust!!!

Il regarda le chien repartir, la queue frétillante, à la recherche d'un chat à se mettre sous la dent... ou de tout autre animal plus petit que lui d'ailleurs... Le problème c'est qu'il y avait beaucoup d'animaux plus petit que le dogue dans le chateau... les poules par exemples. Le jeune garçon en toge secoua la tête pour chasser cette idée et se pencha vers Aelis, en lui tendant la main.

Un peu t'aide minstinguette Aelis? Le sol n'est point endroit pour jeune personne de ton rang, ne crois-tu pas? Et... je ne sais ce qui t'est arrivé mais... on dirai que tu es couverte de bave... Qu'as-tu encore fait? Des bêtises han?

Il sourit à la jeune fille

par **Sabotin de la Marche** Ven 1 Mai - 11:44

Dans son pavillon aux portières relevées le Chevalier s'était déharnaché et enfila une tenue plus légère. Il couvrit sa cape de son colier de Chevalier d'Isenduil et retourna vers les tribunes pour suivre les nouveaux affrontements;

Certains tournoyeurs ruisselaient encore de sueur sous leur harnois dont les plaques de fer chauffaient au grand soleil.

La main en visière il attendait les nouvelles mêlées en compagnie de Louis et ils furent rapidement rejoints par un de ces amis qu'il lui présenta comme venant d'une iîe lointaine et qui lui offrit un sabre étrange :

- Ainsi vous venez de la terre du soleil levant Messire Lolocax, çà doit être un véritable dépaysement pour vous que la Savoie et ses pâturages alpestres. Comptez vous rester longtemps parmi nous?

Il sourit à Louis frappé par la beauté du glaive et lui parla d'un ton mesuré:

- Tu penses estropier quelqu'un avec cette belle arme.... ..

D'une main il vérifia le tranchant de la lame et s'adressa à soeur Nayame:

- Alors Soeur Nayame,vous qui n'aimez pas les armes que dites vous de celle ci ?

Very Happy

par **pygaer** Ven 1 Mai - 12:05

Pygaer attendait toujours patiemment que son adversaire veuille bien se présenter ou qu'une quelconque décision soit prise. Le soleil dardait ses rayons de plomb sur la lice, l'inondant d'une chaleur généreuse. Pygaer commençait doucement à se sentir mal à l'aise dans son armure. Il transpirait à grosses gouttes. Il ouvrit la visière de son heaume pour tenter d'avoir un peu d'air. A côté de lui, sa fidèle Babar lui tendait régulièrement des cruches d'eau pour tenter de le désaltérer. Pygaer lança un regard vers le Duc Louis qui admirait sa nouvelle arme puis regarda le jury du tournoi.

Il se demanda combien de temps encore il allait devoir attendre. Soupirant, il prit le parti de patienter...

par **Babar10** Ven 1 Mai - 14:37

Babar s'acroupit a coter du Seigneur de Montrigod et lui pris sa lance pour le soulager d'un fardeau sous un soleil de plomb.
Elle alla deposer la lance près de la tente et rapporta encore une cruche d'eau bien fraiche.

Voila Seigneur pour vous désaltérer.Si vous désirer autre chose prévenez moi.

Babar se retira dans la tente.

par **Nayame** Ven 1 Mai - 14:52

Naya avait salué d'une révérence l'ami de Louis qu'elle avait déjà rencontré à la loterie d'Annecy et au mariage d'Eglantina. L'arme qu'il avait offert à Louis devait être un cadeau de tradition de son pays d'origine se dit-elle.

- Alors Soeur Nayame,vous qui n'aimez pas les armes que dites vous de celle ci ?

Eh bien...Je dois dire qu'il est vrai que je n'aime pas les combats et tout ce qui s'y rapporte. En réalité ce que je n'aime pas du tout ce sont les guerres et la violence. Mais malheureusement souvent on ne peut y échapper. Par contre, je dois dire que certaines armes sont particulièrement belles. Et celle-ci en fait partie sans aucun doute! Elle suivit du regard le geste de Sabotin qui effleurait des doigts la lame espérant qu'il ne se couperait pas.

par **Mélisende** Ven 1 Mai - 14:56

le cor du herault sonna une nouvelle fois.

Le seigneur Pygaer est déclaré vainqueur de la joute par abandon.
Devant le nombre impair de participant restant, chaques jouteurs encore en lice devront s’affronter. Celui qui remportera le plus grand nombre de passe, remportera le tournoi.

En cas d’égalité entre plusieurs concurrents un nouveau tour sera lancé.

Sont appelés à la lice :

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Curino

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Curino

VS

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Montgirodsq3

par **Aelis** Ven 1 Mai - 15:19

Heureusement pour elle, Arthur rappela sa fontaine ambulante et l'envoya chasser les chats. Les chats ??! Ah non, ça n'allait pas se passer comme ça, il faudrait qu'elle construise un refuge pour soustraire les chats du château à la vile cruauté du gros Wladislas. Elle s'y emploierait le moment venu. Pour l'heure, il lui fallait se relever, et la main tendue d'Arthur était un bon moyen d'arriver à ses fins. Elle l'attrapa mais ne s'en servit nullement pour se hisser debout, elle n'avait pas l'intention de peser tout son poids sur le bras du jeune homme qui la prendrait à n'en pas douter pour... Un cochon obèse... Bin voui, la faute à la boue.

Un peu t'aide minstinguette Aelis? Le sol n'est point endroit pour jeune personne de ton rang, ne crois-tu pas? Et... je ne sais ce qui t'est arrivé mais... on dirai que tu es couverte de bave... Qu'as-tu encore fait? Des bêtises han?

En effet, je ne suis pas sûre que mon illustre pèèèère, ou même mon illustre sœur apprécieraient de me voir me rouler par terre, quand bien même je serais tombée...

Elle lança un regard de dépit sur sa robe, tâchée tour à tour de boue et de salive canine... Encore une de fichue, et elle allait de nouveau se faire attraper par Sally.

Mais de bêtises, point, mon ami. Comment osez-vous soupçonner une jeune fille de mon rang et de ma qualité, de se comporter comme une gourgandine ?

Elle sourit d'une manière tout simplement angélique, et approcha son visage de celui d'Arthur, pour l'embrasser... Mais avant que ses lèvres ne rencontrent les siennes, de sa main droite qu'elle avait soigneusement cachée derrière son dos, elle étala une certaine quantité de la mixture boue/bave sur le doux visage de son bien-aimé. Qui sembla pour le moins surpris d'un tel geste. Éclatant de rire, elle prit ses jupes à son cou et partit en courant, espérant qu'il ne la rattraperait pas, ce qui semblait pourtant inévitable, la jeune fille n'avait jamais été une flèche à la course, gênée par son corset et son nombre incalculable de jupons.

par **Mélisende** Ven 1 Mai - 19:23

devant le nombre impressionnant de joure à disputer, la seconde lice fut aménagée.

Pour la qualité du spectable, les deux joutes nefurent pas lancée en meme temps, mais elle permit aux futur concurrents de se preparer.

Les blasons des concurents sur la seconde lice fut devoilée

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Zumaglia

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VS

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par guidonius Ven 1 Mai - 23:59

Guidonius vit qu'il était appelé sur la lice. Il observa le blason de son adversaire, mais il ne le connaissait pas. Il se prépara, attendant que son tour vienne.

par Arthur Sam 2 Mai - 21:16

Arthur sourit à Aelis et se laissa entraîné vers elle. mais il ne s'attendait pas au sort qu'elle lui réservait. De la boue et de la bave!!! elle lui avait étaler cet horrible mélange sur la face sans qu'il ne le voit venir!!! Le jeune garçon resta interdit un long moment, ne sachant trop comment il devait réagir, tétanisé par la surprise. La jeune fille en avait profité pour partir en courant, le laissant là, à se demandé ce qu'il venait de lui arriver. Arthur cligna plusieurs fois des yeux et alla un serviteur afin qu'il lui fournisse de quoi se débarbouillé, ne voulant pas le faire avec une de ses manches, ce qui aurait tacher son beau vêtements.

Quand sa face fut à nouveau présentable l'intendant de Bielle se tourna et chercha le petite peste des yeux. Elle allait devoir payer pour son méfait, et elle payerait très cher, foy d'Arthur. Un sourire carnassier se dessina sur le visage d'habitude angélique du jeune garçon: la chasse était ouverte. Avec lenteur il commença à remonter la foule, pour trouver Aelis.

Viens petite aelis.. n'ai pas peur... je te ferai rien...

ne se départissant pas de son sourire de chasseur, le jeune garçon fendit la foule...

par **Aelis** Dim 3 Mai - 14:53

Après une centaine de mètres, Aélis s'arrêta un peu pour reprendre son souffle. Se retournant pour évaluer à quelle distance se trouvait son assaillant. Mais point d'Arthur à l'horizon. Elle venait de frôler la crise d'asthme pour rien. Tant pis pour lui. Au moins, cela lui laissait le temps d'aller enfiler une robe propre.

Elle troqua donc son bliaut gris perle contre un autre de cendal prune. Puis Sally en profita pour remettre un peu d'ordre dans la coiffure de sa maîtresse, qui avait elle aussi souffert dans la chute.

Une fois apprêtée, elle regagna la lice, cherchant Arthur du regard. Ah oui, il était là, lui tournant le dois, visiblement très affairé à la chercher. A pas de loup, elle marcha jusque derrière lui, sans qu'il se rende compte de sa présence.

Viens petite Aélis... N'aie pas peur... Je ne te ferai rien...

- Vraiment ?

Elle avait prononcé ces mots d'une voix suffisamment forte pour qu'Arthur se retourne. Ce qu'il fait. Aélis lui tira la langue, et repartit en courant de l'autre côté. Et cette fois il la suivit. Elle courait, elle courait, quand il valet se mit en tête de traverser devant elle. Elle lui fit signe de se pousser, puis se retourna pour voir à quelle distance d'elle était Arthur. Mais soudain, le choc. une nouvelle fois, mademoiselle Maledent de Feytiat se retrouva en proche contact avec le plancher des vaches. Sauf que cette fois, la robe était sauve, elle était tombée dans l'herbe.

Aveuglée par un rideau de cheveux, elle commença à houspiller l'obstacle imprévu.

- N'a-t-on pas idée d'être aussi empoté ! Mordiable, je vous ferai frictionner les oreilles !

Disant cela, elle écarta ses cheveux d'un geste de la main... Pour se rendre compte que ça n'était pas le valet qu'elle avait percuté, celui-ci s'étant poussé comme elle lui avait indiqué, mais... Dans le Grand Maître des chevaliers francs, en grande discussion avec Louis et une belle dame blonde...

-Veu... Veuillez m'excuser, messire, je... Je ne savais pas à qui je m'adressais ainsi...

Le rose lui monta instantanément aux joues, toutes ces paires d'yeux braqués sur elle la mettaient profondément mal à l'aise. La jeune fille tentait tant bien que mal de se relever, toute entortillée dans ses jupes qu'elle était...

par **Eddo Puègmirol** Dim 3 Mai - 18:38

De nouveau appeler et contre qui? et bien la famille de la duchesse, voilà qui promettait un beau spectacle. Eddo remonta sur Rêveur, le talonna et repartie prêt au combat. Son armure n'était plus si lourde avec le temps et devoir ainsi affronter un Maledent, cela donnait du courage au jeune seigneur impétueux. Pourvu que le spectacle soit beau, se dit-il tout en avançant vers cette seconde lice, mise à disposition pour l'occasion.

par **Nayame** Dim 3 Mai - 20:17

Le Grand Maistre rangeait à peine l'arme d'une beauté éclatante lorsque Naya aperçut du coin de l'oeil arriver à grands pas ... Trop tard, elle n'avait rien eu le temps de comprendre ou dire que voila déjà la jeune se retrouvait par terre après un choc dans l'homme qui fut pris de surprise limite apeurée. Quittant ses mains, dans son fourreau, l'épée vola. Louis et son ami réagirent aussitôt pour éviter qu'il ne se retrouve à embrasser le sol et y parvinrent in extrémis on ne le sait comment. Leurs mains s'emmêlèrent sur l'objet suspendu entre ciel et terre. Instinctivement Naya retint Sabotin déséquilibré pour ne pas qu'il se retrouve au même niveau que...que qui d'ailleurs?

Ça va Sa..Monseigneur?

Une voix maugréant des mots peu plaisants s'élevait du tas de chiffons et d'un rideau de chevelure brun derrière lequel apparut un visage des plus attendrissants et des yeux dont le regard changea aussitôt en voyant à qui elle s'adressait. Le rouge fit flamber ses joues autant que possible. Sans aucun doute que Naya, elle-même, aurait eut les même couleurs portées sur sa peau et l'envie de disparaitre instantanément si elle avait été à la place de la malheureuse. Elle se pencha aussitôt vers la jeune femme, prise dans ses jupons, pour l'aider à se relever.

Aussitôt arriva derrière eux, un brin interloqué, messire Arthur aussi essoufflé que celle qui était à l'origine du désagrément.

La sœur franche tapota sur la robe de la demoiselle pour lui donner un air convenable, chose difficile vu l'état de la pauvre tenue qui semblait avoir déjà vécu quelques incidents avant celui-ci. Sa main dégagea le visage encore empri par le choc et la gêne encourue. Quelques mèches furent placées derrière ses oreilles par les doigts délicats de Naya qui regardait à présent Arthur qui restait là à les regarder encore sous le choc?

par **Mélisende** Dim 3 Mai - 21:16

VS
le champion de curino est eliminé pour non presence sur la lice.

VS

Le baron remporte la joute par chute de son adversaire. Le seigneur de Zumaglia s'en sort indemme

en attente sur la lice :
23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Seynodev5

VS

par **pygaer** Dim 3 Mai - 22:14

Et encore une victoire par absence d'adversaire pesta Pygaer Décidément, si ça continue, je me verrai dans l'obligation de payer mes adversaires pour m'affronter

Un peu calmé, Pygaer regarda le nouveau blason qui venait d'être placé à coté du sien. Son prochain adversaire s'annonçait coriace. Il avait en effet entendu dire que le Seigneur Sabotin de la Marche était autrement plus fort à la joute que les autres chevaliers rencontrés jusque là

Bien se dit-il Attendons donc patiemment que ledit Seigneur se présente. Je n'ose croire à un autre désistement pensa-t-il tout bas

par **Babar10** Dim 3 Mai - 22:51

Babar fut triste de ne point voir son Seigneur combattre.
Mais elle ne se décourageait pas car elle pensait toujours fermement que c'était lui le vainqueur.
Elle retourna dans la tente se reposer en attendant le prochaine joute.

par **Aelis** Dim 3 Mai - 23:15

La jolie blonde l'aida à se relever, avec toute la gentillesse du monde. Et cependant Aélis n'avait qu'une seule envie, ne pas s'être réveillé se matin là. Elle récupéra un peu de sang froid, allant le puiser jusque dans les tréfonds de son âme.

La jeune fille plongea dans une élégante révérence, comme on s'était acharné à lui apprendre.

- Messire, je vous renouvelle mes excuses. Comme vous le voyez...

Elle se retourna et désigna Arthur...

... j'étais poursuivie par vostre fils, et il fallait absolument que je lui échappe ou sa vengeance aurait été terrible !

Aélis sourit, le regard empli de malice et de tendresse.

- Mais je crains que nous n'ayons été présentés. Je suis Aélis Maledent de Feytiat, l'infernale sœur de Sa Grâce Mélisende.

Elle parlait d'une voix assurée pour dissimuler son trouble et sa gêne. Qu'aurait dit son père s'il l'avait vue se conduire de la sorte ? Sans doute aurait-elle été bonne pour une interdiction formelle de sortir, voire un séjour au couvent...

par **Elva.** Lun 4 Mai - 2:12

J'avais entendu parler des joutes autour du domaine, des joutes amicale. Je me présenté dans l'espoir de le voir quelques secondes. Je mis une fleur dans mes cheveux et amena fil pour broder comme promit un linge qui avait odeur de rose.

par Arthur Lun 4 Mai - 19:33

Arthur entendit la voix d'Aelis derrière lui. Il se retourna avec lenteur et la vit partir en courant. N'ayant pas envie de se fatigué inutilement il la suivit, en marchant d'un pas léger, fendant la foule avec désinvolture. "Rien ne sert de courir, il suffit d'arriver à point", disait le dicton. Le jeune garçon avait décidé de le prendre au mot. Sa proie percuta quelqu'un, s'était là sa chance, il suffisait à présent de... Arthur reconnut l'homme qu'avait "rencontré" la jeune fille: son père. Bon il n'allait peut-être pas aller l'affronter devant lui, il décida donc de s'asseoir dans un coin et d'attendre une nouvelle occasion...

par guidonius Lun 4 Mai - 21:22

[ sur la lice]

Guidonius était pret à jouter. Il attendait que sa nièce donne le signal. Il profita de ses quelques derniers instants pour s'informer sur l'adversaire qu'il allait affronter. Son valet revint lui donner les informations attendues.

Peste! Alons, Jérome, ma lance et mon haume.
Guidonius s'arnacha et attendit le signal. Losqu'il fut donné, il élança son fidèle Rornade, tachant de viser le centre de l'écu du Duc de Savoie. Le choc fut violent, mais Guidonius réussit à rester en selle. Il fit demi-tour en bout de lice, pour voir ce qu'il en était de son adversaire. Il était au sol. Guidonius ariva près de lui, tendit son heaume et sa lance à son écuyer et descendit de cheval.

Très belle Joute, votre Grâce. J'espere que vous n'avez point trop de mal, sinon, mon médicaste est à votre disposition. Je serai ravi de boire un bon vin en votre compagnie, apres la joute, si le coeur vous en dit.

par **Sabotin de la Marche** Mar 5 Mai - 1:02

La terre ne tremblait pas, mais il sentait ses jambes se retirer sous son corps lorsque la jeune fille vint s’allonger sous ses pieds. Encore trop concentré à détailler le tranchant de ce sabre, les souliers de chasse du Grand Maistre craquèrent et lui-même faillit perdre l’équilibre instantanément.

Il cherchait vainement à retrouver son équilibre en tentant de faire bouger ses épaules à la façon des nageurs qui avant de plonger secouent leurs bras pour les dégourdir et ne devait finalement son salut qu' au geste providentiel de sœur Nayame qui se tenait non loin de lui.

Imperceptiblement il se pencha vers le sol et entendit la voix basse de la jeune fille qui terminait sa présentation :

Mais je crains que nous n'ayons été présentés. Je suis Aélis Maledent de Feytiat, l'infernale sœur de Sa Grâce Mélisende.

Il se prenait alors à sourire :

-Levez vous ma petite Dame, faudrait penser à vous ménager un peu …

Il observait non loin de là, celui qu’il pensait être l’organisateur de ces cabrioles qui n’était autre que son fils Arthur, ce jeune garçon un peu pâle sur le coup, dont les yeux étaient chargés du même éclat de cuivre que le ciel.

Mais déjà on l’appelait sur la lice et il n’avait pas le temps de terminer la conversation avec Louis et Nayame. Il fit signe à Arthur de venir le rejoindre sous son tref pour l’aider à se réharnacher alors que son nouvel adversaire commençait à fouler le grand pré.

Il se fit servir une nouvelle lance et monta sur son destrier qui rongeait son mords. Très vite il abaissa sa lance et ajusta son heaume en attendant le signal du combat.

par **Eddo Puègmirol** Mar 5 Mai - 21:28

La duchesse annonce le lancement de la joute, Eddo baisse sa visière, baisse sa lance et s'élance. Déjà jouter contre un tel baron, cela l'inquiétait, mais il comprit bien vite l a différence qui les séparait. Celle du gland par rapport au chêne. C'est cul au sol qu'Eddo se retrouva, sans surprise. Il était en train d'attendre qu'on le relève quand le baron arriva et dit.

Très belle Joute, votre Grâce. J'espere que vous n'avez point trop de mal, sinon, mon médicaste est à votre disposition. Je serai ravi de boire un bon vin en votre compagnie, apres la joute, si le coeur vous en dit.

Eddo sourit, il avait le mérite d'être poli.

Sire Baron, vous me faites trop d'honneur, vous avez bien jouté pour sûr, mais voilà la différence entre un bon jouteur Eddo Montre le baron Guidonius Et ma piètre performance, Je me porte bien, la seul partie blesser est mon orgueil et je ne doute pas qu'un bon vin le rendra comme neuf.

Puis aider par les pages, le duc se releva, salua son adversaire et tranquillement montrant clairement qu'il allait bien quitta la lice.

par **Mélisende** Mar 5 Mai - 23:32

VS
Les chevaux s'elancent, les deux lances percutent les ecus faisant tomber les deux cavaliers. La lance du grand maitre s'est neamoins brisée. Sabotin remporte la joute par bris de lance.
les deux concurents n'ont aucune blessure.

VS
Le baron Guidonius reporte la joute pour non presence de son adversaire.

sont appelés à la lice
23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 10 Blasonbaron1nn5

VS

par **pygaer** Mer 6 Mai - 8:34

Pygaer éperonna les flancs de Noireaud qui réagit promptement en s'élançant vers l'avant. Les deux hommes fonçèrent droit l'un sur l'autre, la lance pointée vers l'écu de l'adversaire. Etait-ce du à la fatigue ou à l'expérience de son adversaire, toujours est-il que Pygaer, bien qu'ayant touché son adversaire de plein fouet, se sentit soulevé de sa selle et se retrouva à terre dans un bruit de ferraille. Il se releva promptement et vit que son adversaire avait lui aussi été désarçonné. Il souleva la visière de son heaume et constata que sa lance, intacte, gisait à terre près de lui. La lance de son adversaire quant à elle avait éclaté en mille morceaux. Il se dirigea vers son adverseraire en lui souriant, lui tendit la main pour l'aider à se relever

Ce fut une belle joute Messire et vous êtes un digne vainqueur lui dit Pygaer Je suis heureux de voir que vous êtes indemne. Je vous souhaite beaucoup de chance pour la suite du tournoi

Sur ces paroles, il serra la main à son adversaire, salua les juges ainsi que Messire Louis et sa dame Mélisende
Il s'enquit ensuite de l'état de santé de sa compagne qu'il avait vu emmener au début du tournoi vers le couvent et fut heureux d'entendre qu'Ana, bien qu'encore faible et incapable de bouger allait mieux.
Arrivé dans sa tente, il ôta son armure avec l'aide de Babar puis tomba à genoux:

Merci Aristote, pour ma compagne, sans elle je ne sais ce que je deviendrais. Je te remercie également de m'avoir protégé au cours de cette joute Après ces quelques mots, il tomba en prières devant la croix qui trônait dans sa tente. Ensuite, il revêtit des vêtements plus appropriés, donna congé à la fidèle Babar et se dirigea vers la fauconnerie pour aller chercher Juliette qui devait commencer à trouver le temps long. Pendant tout le chemin, il ne cessa de penser à Ana qui gisait sur son lit de douleurs. Il était heureux et avait le coeur léger depuis qu'il avait reçu la confirmation qu'elle allait mieux
Il arriva bientôt à la fauconnerie où Juliette l'attendait sur le pas de la porte.

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