Re: 23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle.

par **Nayame** Mer 6 Mai - 22:25

La jeune sœur de Melisende resta là un moment à retrouver un air souriant.

J'espère que vous n'avez pas eu de mal?! dit la jeune femme à son intention. Je suis ravie de vous rencontrer. Je suis Nayamé, sœur franche.

Mais déjà le Grand Maistre fut appelé sur la lice pour le prochain duel. Il disparu rapidement en compagnie de son fils pour se retrouver finalement face à son adversaire. Les deux hommes furent désarçonnés. Naya serra les mains de toutes ses forces espérant qu'ils n'avaient rien et soupira rassurée de voir qu'ils semblaient bien aller.

Ce n'était vraiment pas son truc de voir ainsi ce genre de chose. De plus son frère franc était à nouveau appelé à combattre. Elle préféra se retourner vers la jeune femme et lui dire d'un air taquin.

Dites moi...Vous semblez bien vous entendre avec messire Arthur?

par **Sabotin de la Marche** Jeu 7 Mai - 3:42

Dans le cas présent sabotin le jouteur se sentait plus confiant qu'à son habitude car il avait échangé sa lance contre une lance neuve. Il leva la main dextre vers le haut.

Il y eut alors un moment de silence, pendant lequel chacun des deux champions apprêtait sa lance, et qui fut employé par les spectateurs à un examen rapide de chacun d’eux.

La lance de sabotin glissa sur le bord de l’écu de Messire Pygaer, et alla se briser contre sa cuirasse, tandis que la lance de son adversaire resta intacte. Ils chutèrent néanmoins tous les deux au sol et le Maistre des joutes le déclara vainqueur à sa grande surprise.

La chute fut sans grande conséquence et les deux hommes se saluèrent à la fin du combat :

- Je vous remercie pour ma part pour la bonne tenue de ce combat. Votre cuirasse a été comme un mur pour ma lance. Ce fut un honneur pour moi de croiser ma lance, ou du moins ce qu'il en reste avec vous!

Il le salua fort courtoisement et remonta sur son destrier. Après le tour de lice du vainqueur il retourna sous son pavillon pour prendre un moment de repos.

par guidonius Jeu 7 Mai - 13:01

Guidonius s'appréta à aller sur la lice, lorsqu'l apprit que son adversaire était absent. Il se rappela les joutes de Saint Omer où pareille mésaventure lui était arrivé. Il retourna derechef dans sa tente, attendant le prochain duel

par **Mélisende** Jeu 7 Mai - 19:51

sont appelés à la lice
23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 11 Blasonbaron1nn5

VS

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 11 Seynodev5

par **Aelis** Jeu 7 Mai - 21:00

La jolie blonde lui souriait avec bienveillance.

J'espère que vous n'avez pas eu de mal?!
Je suis ravie de vous rencontrer. Je suis Nayamé, sœur franche.

Non, ne vous en faites pas pour moi, j'ai l'habitude de choir, je suis plus maladroite que... Qu'un... Enfin bref.
Je suis également enchantée de faire votre connaissance, Nayamé.

Sabotin s'éloigna, en compagnie d'Arthur. Les deux jeunes femmes n'eurent pas longtemps à attendre avant que la joute ne démarre, et purent à loisir observer les jouteurs, la double chute et la victoire du Grand Maistre.
Puis la nouvelle connaissance d'Aélis se pencha vers elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

- Dites moi...Vous semblez bien vous entendre avec messire Arthur?

Son inconscient semblait s'attendre à une telle question, et pourtant la jeune fille ne put s'empêcher de devenir de nouveau rouge pivoine, tentant en vain de masquer son trouble.

- Mmmh, et bien, euuh, oui... Nous sommes plutôt proches, oui... Oui, on peut dire ça...

Devant le ridicule de la situation, elle ne put s'empêcher d'éclater de rire. Puis elle entendit Mélisende appeler Sabotin et Guidonius.

- Et voilà, le champion Maledent contre le champion de La Marche. Pourvu que ça soit Guido qui gagne !

par **Sabotin de la Marche** Jeu 7 Mai - 22:55

A peine retiré sous le pavillon familial, un nouveau combat venait d'être annoncé. Un combat auquel il ne s'attendait pas et qui formait une belle symbolique. Une rencontre inattendue des représentants de deux famllles emblématiques : le famille Maledent et la famille de la Marche DiCésarini.

L'annonce ainsi faite Guidonius et sabotin entrèrent dans la lice par l’une et l’autre extrémité, tout à fait en face l' un de l'autre.

C’était un spectacle qui s'annonçait splendide et terrible en même temps, à la vue des deux vaillants adversaires, bravement montés et richement armés, se tenir prêts à une rencontre si formidable.

Sabotin assis sur sa selle de guerre comme une statue de fer, attendait le signal du combat avec la même ardeur que son redoutable destrier, qui signalait son impatience par des hennissements et en frappant la terre du pied.

Jusque-là, le chevalier avait tenu sa nouvelle lance verticalement placée, sa pointe brillante scintillait au soleil, et les banderoles dont elle était décorée flottaient au-dessus de l'aigle de son casque. Il restera ainsi pendant les dernières inspections jusqu'au signal du combat.

Pour le Chevaler franc et d'Isenduil, la force de l'habitude le laissa d'un calme froid, mais il remarqua que parmi les spectateurs certains étaient stimulés par les scènes qui allaient suivre et même les dames de distinction qui encombraient les tribunes, attendaient le combat avec un intérêt d’angoisse, il est vrai, mais sans désirer de détourner les regards d’une si terrible vue.

par guidonius Ven 8 Mai - 20:46

Guidonius fut prévenu par son écuyer qu'il était appelé à la joute suivante. Il alla sur la lice découvrir les armes de son adversaire. En arrivant, il vit, à coté de son blason, celui de son ami Sabotin. Guidonius sourit. A la fois il espérait et redoutait cette confrontation. Jouter contre son ami, chevalier et Grand Maitre lui plaisait beaucoup. Mais il redoutait son manque d'entrainement face à son adversaire qui lui semblait bien plus aguerri que lui. Il se harnacha, fit un signe amical à Sabotin, et alla attendre en but de lice que le signal soit donné. Mentalement, il se remémorait les conseils que lui avait donné son dernier Grand Maitre Templier, mort bien trop tot, avant même d'avoir pu finir son instruction.

par **Mélisende** Ven 8 Mai - 22:15

Soleil de plomb qui faisait tourner la tête de la duchesse, sans s’en rendre compte la duchesse avait affiché les blasons de son oncle et de son beau père. Jusque la, elle avait toujours réussit à deviner quel serait le gagnant de la joute, mais la …. Difficile à dire. Les deux étaient au bout de la lice, se saluant aussi respectueusement que pouvaient le faire deux chevaliers. Belle leçon de noblesse…

Mel donna le cor à un page qui se chargera de faire retentir le signal. Elle était tendue et s’approcha des gradins pour être plus proche. Elle souffla un bon coup quand les deux chevaux furent correctement en ligne et donna ordre au page de faire sonner l’instrument. Les deux chevaux s’élancèrent.

Première passe, les deux lances sont abaissées mais pas en lignes, les deux concurrent se manquent tandis que les chevaux s’arrêtent bien à la fin de la lice.

Deuxième passe, les chevaux s’élancent, la lance du baron est mal alignée et manque sa cible. Celle du GM touche sa cible mais ne se brise pas. La duchesse déclare la joute nulle.

Troisième passe, les deux chevaux s’élancent à pleine vitesse. Les deux concurrents, à force égales explose leur lance sur les écus. L’adresse en face d’une telle charge demande bien plus que de l’expérience, les deux concurrents chutent de cheval sans aucune blessure.

La duchesse avait la gorge serrée mais se devait de regarder la joute. Les épées devaient être tirées.
Il fallait 4 attaques valides pour remporter le duel. Par valide on entend : touche de l’adversaire.

Le grand maitre attaqua le premier, sans succès, puis une seconde fois juste derrière et gagna sa première touche. Guidonius riposta aussitôt et égalisa. Les quatre passes suivantes se déroulèrent vite, sabotin finit par toucher une seconde fois. Leçon qui n’avait pas porté ses fruits la premières fois, Guido le toucha juste derrière.

Ils firent une « pause » avant d’enchainer. 6 attaques furent lancées sans succès, puis la septième Guido toucha son adversaire en le blessant légèrement à l’épaule.

Est-ce la colère qui décupla les forces du grand Maistre qui attaqua deux fois de suite en touchant son adversaire ?

Sabotin remporte la joute, avec blessure légère à l’épaule

un stress de plus pour la duchesse qui devait davantage pensé à se soucier de la santé de son bébé. Et voila que les contractions la reprenait. Se rassoir gentimment, voila une bonne idée....

par **Nashia** Sam 9 Mai - 0:14

Nashia se détourna de la joute un air a moitier horrifier sur la figure.
C'est jeu était d'une sacrée violance... La jeune femme avait une sainte horreur du sang... Voir ces lances ce brisées ces cavaliers tombé ! Breeuuuh... Et les duels... Dieux, elle qui ne se battait qu'au batôn ! A voir la bléssure, même légére, du sieur elle avait faillit pousser un cris...
Hissant Juliette dans ses bras elle passa devant le podium ou se trouvait la Duchesse. Elle s'étonna de la voir pale et assise... Un peut inquiete elle s'approcha doucement du podium gardant ses distances, timidement elle demanda

"Vous vous sentez bien Duchesse ? "

La jeune femme n'était pas sure de s'etre fait entendre. Après tout elle n'avait pas parler bien fort et dans le boucan...
Elle se mordillait les levres inquiete et surtout trés mal a l'aise. Nashia n'était pas habituée au grand rassemblement, trop de choses nouvelle pour elle !

par **Sabotin de la Marche** Sam 9 Mai - 0:54

Les trompettes retentirent enfin ; aussitôt les deux cavaliers baissèrent leurs lances et les mirent en arrêt. Ils enfoncèrent les éperons dans les flancs de leurs chevaux,et Einstein s’élança au grand galop. Ils se croisèrent sans se toucher soulevant un immense nuage de poussière. Le Grand Maistre fit une volte en bout de lice et talonna à nouveau son destrier.

Au deuxième passage, les deux chevaliers se rencontraient avec une approche plus fine et un succès balancé. La fortune du combat semblait s’incliner pour sabotin qui heurtait sa cible mais ne la brisa point

La charge suivante fut encore plus puissante et les deux hommes se heurtèrent au milieu de la lice dans un choc dont le bruit fut entendu dans tout le voisinage du Domaine. Les conséquences du choc ne furent pas visibles sur-le-champ, car la poussière soulevée par le piétinement des chevaux obscurcit l’air, et il fallut quelque temps avant que les spectateurs inquiets pussent apprécier l’issue de cette rencontre.

Quand le combat devint visible, les deux chevaliers étaient démontés et leurs lances brisées.

Ainsi pendant la première partie du combat, les efforts qu’ils firent pour se départager étaient inutiles. Sabotin détournant son cheval hors de la lice, tira son épée prêt à parer et à donner les coups avec son adresse habituelle. Les spectateurs éclatèrent en un cri involontaire et unanime pour exprimer leur admiration et leur plaisir.

Au cours de la première mêlée les armes se croisèrent sans complaisance, mais le sort n’arriva pas à les départager. Sabotin semblait étouffer sous le poids de son armure. Ils firent une pause et il resta quelques instants au bord de la lice se préparant psychologiquement à la nouvelle passe d’armes car rien n’était joué

Lors de la reprise il préféra laisser son adversaire attaquer, mais ce fut une erreur car il fut touché à l’épaule et il ressentit une violente brûlure. Il se trouva alors dans une situation plus périlleuse que Guidonius et s’inquiétait déjà de devoir porter cicatrice de ce combat.

Il décida alors de se présenter l’épée haute, en levant sa terrible arme au dessus du heaume de son adversaire et profita de cet effet de surprise pour lui porter les deux coups décisifs.

Tandis que certaines dames agitaient leurs mouchoirs brodés et que les spectateurs de tous les rangs s’unissaient dans un cri bruyant d’admiration, le Grand Maistre des Chevaliers francs porta l’arme à son fourreau et se dirigea vers Guidonius jetant son heaume au milieu de la lice.

Il le serra contre lui et tout son corps tremblait sous la violence de l’émotion :

- Guidonius, à un moment donné j’étais complètement sonné et j’ai vu quelques étoiles. C’est la joute la plus éprouvante que j’ai jamais vécue et ce fut un honneur d’avoir pu jouter avec toi. Regagnons ensemble les tribunes et allons partager avec la famille l’honneur de ce tournoi.

Il chancela quelque peu en traversant la lice, son visage avait ramassé un sacré coup de soleil à croire que le heaume le protégeait des coups mais du soleil et cherchait un petit coin d’ombre près du podium.

par guidonius Sam 9 Mai - 20:34

Au signal , Guidonius lança son fidele Tornade au grand galop. Lance baissée, il allait à le rencontre de son ami et adversaire. Un rayon de soleil vint le frapper sur le heaume, et Guidonius en loupa l'écu de Sabotin. Par chance, son concurent le loupa également. Guidonius repartit pour un deuxième tour, bien décidé cette fois ci à ne pas se laisser troubler par quoique ce soit. Guidonius visa un peu trop haut, et la lance de Sabotin vint le frapper en plein écu. Guidonius serra fort les rennes pour se maintenir en selle. En bout de lice, il entendit la joute déclarée nulle. Il prit une autre lance et repartit à l'assaut, au signal donné. Le choc fut violent, Guidonius vit passer des éclats de lance, tout en se retrouvant projeté au sol. Il se releva, et vit que Sabotin avait subit le même sort.
Les lances n'arrivant pas à les départager, le combat allait donc se poursuivre, selon les règles, à l'épée.

Guidonius retira son heaume, et prit l'épée que lui tendait son écuyer. Les deux adversaires ne se ménageaient pas, tantot se touchant, tantot entrechoquant leurs épées dans un fracas épouvantable. Guidonius songea un instant à Clémence qui risquait de paniquer à la vue d'un tel combat. Les coups se suivant sans discubtinuer, les deux adversaires firent une courte pause. Guidonius en rofita pour boire une gorgée d'eau. La chaleur dégagée par la cuirasse commençait à lui peser.

Il repartit à l'assaut au signal donné. Les attaques étaient parées à chaque fois par l'adversaire, et la fatigue commençait à se faire sentir dans les bras de Guidonius. Il parvint à toucher son adversaire, le blessant visiblement. Cela dut redoubler l'ardeur de Sabotin, car Guidonius reçut deux attaques successives qu'il ne réussit à parer. Sabotin fut déclaré vainqueur.

Guidonius lança son épée à son écuyer et alla retrouver son ami qui semblait presque aussi fatigué que lui.

J'ai vu que tu chancelais, mais je n'ai pas su en profiter. J'espere que ta blessure n'est pas trop grave. En tout cas, c'est le plus beau duel qui m'ait été donné de faire jusqu'aujourd'hui et je suis heureux qu'il ait eu lieu avec toi. Les Chevaliers Francs ne se sont pas trompés en t'élisant Grand maitre, tu es un redoutable combatant. Alons fêter cela oui.

Guidonius fit une tape amicale sur l'épaule de Sabotin, prenant soin de ne pas toucher là où se trouvait sa blessure, puis il l'accompagna jusque vers les tribunes.

par **pygaer** Sam 9 Mai - 22:26

Pygaer se remémora soudain que la joute à laquelle il participait n'était point terminée. Il retourna donc à la hâte vers la lice, chercha vainement Babar (et pour cause). Aussi, il héla ses deux paysans. Il remit son armure à la hâte, se remit en selle et se rendit au petit trot vers la lice

Arrivé près de la lice, Pygaer attendit patiemment qu'il soit appelé

par **Mélisende** Sam 9 Mai - 22:49

il ne restait plus que 3 joutes ... ca devrait aller. sabotin et son oncle n'avaient rien. Elle essayait de se reassaisir quand elle entendit la voix de nashia qui l'interpellait. à ce moment la la duchesse eu le choix, de se mentir à elle meme en disant que tout allait bien, ou dire la vérité et confier la suite de la joute à son poursuivant. Mais la duchesse est tetue, et prefera ignoré les cris de son ventre.

je vais bien merci, juste une grosse frayeur.

Elle la regarda sans grande conviction, les yeux la trahissant largement. Elle tenta de sourire, qui au final ressemblait plus à une grimasse. Mais elle devait finir la joute. Elle donna ordre d'afficher les nouveaux blasons.

VS

Quelques minutes plus tard la douleur semblait se dissiper et la duchesse reprit son activité.

par Louis1er Dim 10 Mai - 7:47

J’étais impressionné par le combat qui venait d’avoir lieu entre mon père et l’ancien chevalier du temple. Je n’en avais perdu une miette et me souviendrais pour longtemps de ce combat qui avait donné victoire à mon père. Ma tendre épouse annonçait alors le match suivant, mais je voyais bien sur son visage que quelque chose n’allait pas. Je me faufilais donc dans la foule pour me rendre à ses côtés.

Je m’approchais doucement de ma douce et lui prit la main tendrement…

Tout va bien mon cœur ?

Mon regard se portait dans ses yeux et était rempli d'amour et tendresse...

par **Babar10** Dim 10 Mai - 11:02

Babar voyant que Le Seigneur de Montgirod le cherchait, elle l'appela.

Seigneur de Montgirod! Seigneur de Montgirod!

Elle coura près Le Seigneur et arrivant près d lui elle parla.

J'ai etendu dire que vous me cherchiez?

par **Eddo Puègmirol** Dim 10 Mai - 14:33

Après un combat comme il est rare d'en voir, épique dirai les gens, le duc de Savoie, fut appelé, il remonta sur Rêveur, soupira en sentant l'odeur de son heaume et fini par le mettre. Il attendit que la lice soit nettoyé et s'avança, pour prendre position. Se combat serait des plus étranges, se battre contre le seigneur de Montgirod, le Très Haut été joueur, mais soit, cela sera un bon combat!

par **Mélisende** Dim 10 Mai - 15:59

Melisende s'appretait à donner le signal pour lancer la nouvelle joute quand elle entendit la voix de son epoux. Elle le regarda legèrement inquiete. mais les contractions s'étaient calmées.

Oui louis ca va merci. un peu fatiguée...

Elle donna ordre de soufler dans le cor et le page s'exécuta.

Les deux chevaux sont en bout de lice et s'elencent. Le seigneur Pygaer n'a pas sa lance correctement aligné et manque sa cible. La lance du duc de savoir pafaitement aligné, touche et de brise sur l'ecu de son adversaire.

Le seigneur de Zumaglia remporte la joute par bris.

par **Nayame** Dim 10 Mai - 19:27

Naya remarqua le trouble qu'avait la jeune Aelis en répondant à sa question. Elle en conclu donc que ces deux là devaient ressentir quelques sentiments. Cela la fit sourire légèrement. Puis se prépara le duel entre le Sabotin et Guidonius. Elle le suivit tant bien que mal. Plus l'affrontement durait et plus il semblait prendre des tournures inquiétantes. Alors qu'Aelis espérait que Guido gagne, Naya elle priait pour que ce soit son frère franc. Elle priait surtout pour que cela ne se termine pas mal vu la tournure des événements, leurs épées tirées de leurs fourreaux. Elle regarda tout ceci avec difficulté et fronça les sourcils lorsqu'elle comprit que le GM était blessé. Mais vu l'accolade que les joueurs se firent, cela n'était sans doute pas bien grave. Elle se murmura...Quand est ce que ce tournoi va t-il donc finir?...Plus que 3 joutes et le calme reviendra.

par **pygaer** Lun 11 Mai - 11:46

Etait ce par mégarde ou par inattention, avait-il l'esprit troublé par quelques pensées négatives, Pygaer ne le sût. Toujours est-il qu'il jouta de manière lamentable, n'alignant Noireaud qu'en dernière minute. Il constata avec horreur que sa lance était loin d'être dirgée vers son adversaire et qu'elle semblait dotée d'un vie propre. Il rata pitoyablement sa cible. Par contre, le Seigneur Puègmirol, lui, domina parfaitement son sujet et sa lance vint se briser sur l'écu de Pygaer qui vacilla sous le choc mais resta heureusement en selle. Dégoûté et dépité, Pygaer jeta sa lance par terre, puis fit tourner Noireaud et fonça sur Eddo. Il arrêta son destrier près de son adversaire et ami, releva son heaume et lui sourit malgré sa déception.

Félicitations Eddo, ta passe a été admirable tandis que la mienne, même Babar aurait fait mieux. Je te pries d'accepter mes excuses pour cette piètre prestation. De toutes manières, le meilleur a gagné. lui dit-il en souriant cette fois plus franchement. Il tendit la main vers Eddo qui l'accepta de bon coeur puis il retourna vers l'entrée de la lice afin de se préparer à sa dernière passe. Deux victoires par abandon et deux défaites, le bilan était plus que mitigé selon lui. Il était bien décidé d'en gagner tout de même une mais pour cela, il fallait qu'Aristote lui soit favorable....

par **Babar10** Lun 11 Mai - 23:40

Babar regardais son Seigneur s'écraser contre le sol et elle fit un petit cris de douleur.
Elle arriva près du Seigneur de Montgirod et entendit ses paroles.

Mais non Seigneur je ne puis faire mieux que vous je ne sais pas manier une lance comme vous le faite.
Ne perdez pas courage !

Babar souris tout en posant sa main sur l'épaule du Seigneur.

par **Mélisende** Mar 12 Mai - 14:38

Et revoila une contraction.... à se poser des qestions quand meme, mais non la duduche faisait encore la sourde oreille. Elle avait decidé d'enf inir seule avec ces joutes. Mais voila, elle avait oublié un detail important, c'était ses proches qui jouttait. Et la apres son oncle et son beau père, ce fut eddo et PYgaer qui s'avancait sur la lice.

Elle fit sonner le cor et ressentit donc une nouvelle contraction au moment du choc. Pas trop violent cette fois..;et encore, peut on dire qu'une joute est pas violent?

la lice fut debarassée et les nouveaux blasons furent affichés.

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 11 Seynodev5

VS

23 03 1457 - Tournoi Amical de Bielle. - Page 11 Zumaglia

Elle avait presque reussit à respirer une seconde que le blason d'eddo fut decouvert et contre sabotin ....

par **Sabotin de la Marche** Mar 12 Mai - 23:15

Sabotin n'avait pas trouvé le temps suffisant pour soigner sa blessure à l'épaule qui n'arrêtait pas de lanciner. IL savait qu'il avait présent un handicap pour affronter son prochain tournoyeur qui ne sera autre qu' Eddo.

Fort heureusement il ne restait plus que quelques joutes à mener et il espérait qu'il pourrait tenit jusqu'au bout et trouver entre temps un écuyer ou un médicastre pour soigner la blessure.

Il remonta sur son destrier sentant déjà la fatigue dans son bras et avança jusqu'au bout de la lice. Eddo risquait d'être plus rapide que lui, sur ce combat ci. Il referma la visière de son casque avec une légère crispation.

par **Eddo Puègmirol** Jeu 14 Mai - 21:22

[lors de sa joute]

Eddo se plaça, descendit son heaume, prit sa lance, la positionna. Il regarda son adversaire, ce n'était pas une joute comme les autres, loin de là, ce combat Eddo l'attendait depuis un bon bout de temps. Il sourit, du sourire insouciant du soldat devant la mort, un sourire qui cache la peur, oublie les tripes qui se tordent, le cœur qui s'affole, les suées, la main qui tremble. Puis Mélisende fit sonner le lancement. Un coup de mollet sur Rêveur et le voilà partie au galop. Lui aussi s'amusait beaucoup, voir son maitre tomber lui rappelait leurs premières rencontres, le voir se battre lui rappelait la Normandie, le voir rire, lui rappelait les beaux jours du passé. Son seul regret? ne pas pouvoir faire chuter son cavalier lui mesme.

Puis Pygaer rata bêtement tandis qu'Eddo étouffa un juron. lui avait réussit, voilà une joute de gaché, il aurait du voir la lance de son adversaire mal positionné et rater sa lance aussi; un beau combat se fait ainsi, quand l'adversaire, respect l'autre et ne gagne pas par chance, mais par son savoir, sa technique et son endurance.

Le duc répondit au seigneur de Montgirod.

La prochaine fois, mon ami, la prochaine fois on fera sa mieux!

Puis il repartie vers sa tente, pour se reposer et travailler un peu aussi, un duché sa se gère parait-il il devait donc entendre doléance et tout le tintouin.

par **Eddo Puègmirol** Ven 15 Mai - 22:36

Puis il revint quand on lui dit que sa faisait un bail qu'on l'attendais sur la lice. Il avait du s'endormir et avec une tel armure, je vous laisse imaginé le challenge.

Il remonta sur Rêveur demanda qui était son adversaire, leva un sourcil, mit son heaume, prit sa lance et alla en lice. Il regarda son adversaire qui semblait ne pas être au mieux de sa forme, il baissa sa visière et attendit la corne.

par **pygaer** Sam 16 Mai - 12:23

Pygaer descendit de Noireaud. Ce dernier émit un hennissement de satisfaction d'être enfin débarassé de cette lourde charge. Pygaer ôta son heaume et le donna à Babar. Il se plaça ensuite à hauteur de la bonne grosse tête de Noireaud, la prit dans ses bras et lui flatta le museau. L'animal sembla apprécier et lui donna un petit coup de tête amical. Pygaer colla sa tête contre celle de son animal et murmura

"Je sais, elle te manque aussi. Que veux-tu mon beau, il faut attendre et espérer. Elle reviendra, j'en suis sûr mais quand je ne sais. Il faut avoir confiance mon tout beau, en elle, en Aristote."

Il était perdu dans ses pensées, son esprit torturé volait en direction du monastère où elle se trouvait depuis... une éternité selon lui. Plongé dans ses réflexions, Pygaer ne sentit pas que ses yeux s'embuaient, il continuait simplement à caresser la grosse tête de Noireaud. Ce n'est qu'au moment où celui-ci s'effraya du son du cor que Pygaer revint sur terre. Il vit Babar près de lui, le regardant d'un air inquisiteur et lui sourit. Il se concentra ensuite sur la prochaine joute, du moins il essaya. Sans le vouloir, il laissa son regard errer sur la lice, sur ses gens riant, chantant, faisant ripailles. Il regarda les enfants courir, jouer, crier. Il observa les nobles faire bombance à grandes lampées de vin. Tout cela lui fit oublier un peu ses problèmes et il se surprit même à sourire. Il posa ensuite son regard sur la lice et sur l'emplacement des juges. Il y vit dame Mélisende officier comme d'accoutumée. Seulement son attitude corporelle trahissait de soudaines douleurs fort vives et cela intrigua Pygaer. Ayant un peu de temps à disposition, il parcourut la courte distance qui le séparait de l'endroit puis tenta d'attirer l'attention de Dame Melisende. A un certain moment, elle le regarda et Pygaer lui demanda à voix basse

"Tout va bien Votre Grâce? Vous me semblez souffrante..."

Il attendit anxieux la réponse de Dame Melisende

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